Une explosion de forte intensité s’est fait entendre dimanche soir en plein cœur de Tel-Aviv. Une personne a été tuée et la ville a subi d’importants dégâts.
Les autorités du régime sioniste soupçonnent un homme d'une cinquantaine d’années qui aurait cherché à commettre un attentat de grande envergure dans la ville au volant d'un camion.
La police qui affirme avoir reçu des dizaines d'appels signalant la forte explosion survenue dans la rue HaLehi, explore tous les motifs potentiels derrière l'attaque, y compris le fait qu'il s'agisse d'une opération de la Résistance.
Le conducteur du camion qui a trouvé la mort dans l'explosion, transportait du matériel explosif, a déclaré le commandant du district Peretz Amar. Une personne blessée par des éclats d'obus a été transportée à l'hôpital.
Cet incident survient alors que Tel-Aviv reste en état d'alerte maximale en raison de tensions régionales croissantes liées à la guerre à Gaza. On ignore si l'acte est lié à la situation sécuritaire complexe. Mais le fait que le Shin Bet ait entamé une enquête sur les circonstances de l'explosion, porte à croire que les autorités n'excluent pas l'implication de la Résistance.
La Résistance irakienne frappe des sites militaires israéliens sur le plateau du Golan
La Résistance islamique en Irak a mené de nouvelles opérations contre des positions militaires sur le plateau du Golan syrien occupé.
Le groupe de coordination des groupes de résistance irakiens a déclaré dimanche soir dans un communiqué que ces opérations avaient été exécutées en solidarité avec les Palestiniens et en représailles du massacre des civils dans la bande de Gaza.
La Résistance islamique a averti à plusieurs reprises que si le génocide à Gaza se poursuivait, ses combattants intensifieraient leurs opérations anti-israéliennes.
Dans ce droit fil, les groupes de résistance dans la région ont frappé à plusieurs reprises des positions sensibles et importantes en Palestine occupée.
Depuis l’Irak, les forces de résistance ont mené des dizaines de frappes contre les installations militaires américaines en Irak et en Syrie, sur fond de sentiments anti-américains croissants en raison du soutien de Washington à la guerre génocidaire d'Israël contre Gaza, qui a jusqu'à présent tué plus de 40 000 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants.
Il y a près de 2 500 soldats américains en Irak et environ 900 autres en Syrie qui font partie de la prétendue coalition de lutte anti-Daech.
L’Irak et la Syrie, avec l'aide de leurs alliés, ont vaincu le groupe terroriste fin 2017 mais les États-Unis y maintiennent leur présence militaire.
