Les États-Unis ont envoyé plus de 25 000 bombes et missiles à Israël depuis le début de l'agression israélienne contre la bande de Gaza, le 7 octobre 2023.
Le journal américain The New York Times a révélé, le jeudi 25 juillet, se référant au think tank américain, Jewish Institute for National Security of America, que plus de 20 000 bombes non guidées, environ 2 600 bombes guidées et 3 000 missiles de précision ont été livrés depuis le 7 octobre 2023 à Israël.
Le régime israélien mène sa guerre brutale contre Gaza depuis le 7 octobre après que le groupe de résistance palestinien Hamas a mené l'opération surprise Tempête d'Al-Aqsa contre l'entité usurpatrice en représailles à ses atrocités accrues contre le peuple palestinien.
Depuis lors, Israël fait usage des armes fournies par les États-Unis contre de nombreuses infrastructures civiles.
Plus tôt ce mois-ci, la radio militaire du régime israélien a rapporté que l'armée de l'air israélienne avait largué un total de huit bombes JDAM (Joint Direct Attack Munition) de fabrication américaine sur le camp de réfugiés d'al-Mawasi dans la ville de Khan Younès, au sud de Gaza, tuant et blessant au moins 390 Palestiniens.
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La guerre a jusqu’à présent coûté la vie à plus de 39 175 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants, et en a blessé 90 257 autres.
Le mois dernier, le journal américain The Washington Post a rapporté que les États-Unis avaient fourni au régime sioniste plus de 6,5 milliards de dollars de matériel militaire rien que depuis le début de l’offensive militaire barbare d'Israël contre Gaza.
Cette augmentation considérable intervient alors que l'aide militaire annuelle de Washington au régime de Tel-Aviv s'élève à environ 3,3 milliards de dollars.
Washington a également utilisé son droit de veto à plusieurs reprises pour empêcher le Conseil de sécurité de l’ONU d’adopter une résolution qui appellerait à la mise en œuvre d’un cessez-le-feu immédiat dans la guerre.
Le soutien politique et militaire sans faille des États-Unis au régime sioniste intervient en dépit d’un ordre émis en janvier par la Cour internationale de justice, (CIJ) la plus haute instance judiciaire des Nations unies, demandant à cette entité de prendre toutes les mesures en son pouvoir pour empêcher un génocide à Gaza.
