Le général de brigade Ali Fadavi, commandant adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), affirme que l'attaque terroriste israélienne contre les locaux de l'ambassade d'Iran à Damas, en Syrie, accélère l'effondrement du régime sioniste.
« La nature perverse des méchants du monde les pousse à prendre des mesures qui accéléreront leur effondrement, et cette attaque terroriste [à Damas] accélérera également le déclin du régime d'occupation », c’est ce qu’a réaffirmé ce dimanche 7 avril le général de brigade Ali Fadavi.
Le 1er avril, des avions militaires israéliens ont bombardé la section consulaire de l'ambassade iranienne dans le quartier de Mezzeh, à Damas, capitale syrienne.
Un commandant supérieur de la Force Qods du CGRI, le général de brigade Mohammad Reza Zahedi, et son adjoint, le général Mohammad Hadi Haji Rahimi, figuraient parmi les sept martyrs iraniens de l'attentat à Damas.
Israël a commis des crimes odieux dans la bande de Gaza depuis le début de sa guerre dévastatrice le 7 octobre 2023, notamment le massacre de dizaines de milliers d'enfants et de femmes innocents.
Cette guerre génocidaire fait suite à l'opération historique du mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas, contre les territoires occupés.
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Depuis, le régime sioniste a massacré au moins 33 175 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants, et en a blessé quelque 75 800 autres. Il a également imposé un « siège complet » à Gaza, coupant le carburant, l’électricité, la nourriture et l’eau à plus de deux millions de Palestiniens qui y vivent.
« Les ennemis regretteront l'acte d'agression contre l'Iran »
Six mois après le début de la guerre, Israël se trouve désormais face à une situation difficile et le soutien de l'Iran au peuple palestinien reste indéfectible, a-t-il indiqué.
« Israël subit un échec cuisant dans la guerre contre Gaza, il emploie tous les moyens bien qu'il voie son déclin imminent », a-t-il assuré.
Soulignant les défaites d'Israël dans les domaines économiques, juridiques, politiques et médiatiques, le commandant du CGRI a déclaré que le régime sioniste redoutait les représailles du front de la Résistance.
