L'armée israélienne a confirmé la mort d'un autre de ses soldats dans la bande de Gaza assiégée en pleine guerre génocidaire en cours du régime occupant contre le territoire palestinien.
Dans un communiqué publié le mercredi 27 mars, l'armée israélienne a déclaré qu'un autre sergent dans ses rangs avait été tué à la suite d'affrontements avec des combattants de la Résistance palestinienne dans le sud de la bande de Gaza.
Cependant, elle n’a pas fourni de détails sur les circonstances de la mort du sergent ni sur les spécificités de l’affrontement.
Cette dernière victime porte à 597 le nombre de morts israéliens parmi les militaires, y compris des soldats, des officiers et des réservistes.
Selon les chiffres de l'armée israélienne, 344 de ces soldats ont été tués le 7 octobre, lorsque le mouvement de résistance palestinien Hamas a mené l'opération Tempête d'Al-Aqsa contre l'entité usurpatrice en représailles à l'intensification de ses atrocités contre le peuple palestinien, et le reste - 253 - ont été tués au cours de la guerre brutale menée par Israël contre Gaza depuis lors.
Et ce, alors que les médias indépendants et les Palestiniens affirment que le nombre de morts parmi les troupes du régime d’occupation est bien plus élevé et que Tel-Aviv cache le nombre réel pour éviter la colère du public contre la coalition d’extrême droite au pouvoir.
Malgré un bilan massif de morts et de blessés, l’armée israélienne s’est efforcée d’atteindre les objectifs qu’elle s'était fixés à savoir, « détruire » le Hamas, libérer les captifs que le mouvement de résistance basé à Gaza détient et provoquer le déplacement forcé de la population de l’enclave palestinienne vers l'Égypte voisine.
Depuis le début de la guerre, le régime israélien a tué plus de 32 500 Palestiniens, pour la plupart des femmes et des enfants, et en a blessé 74 980 autres. Le régime a également imposé un « siège complet » sur le territoire, coupant le carburant, l’électricité, la nourriture et l’eau à plus de deux millions de Palestiniens.