L'appareil diplomatique de la RII a condamné avec véhémence le nouveau feu vert donné par la Suède à un acte de profanation du Saint Coran.
Dans un cas répété et autorisé par l'État suédois du sacrilège contre le livre sacré des Musulmans, deux hommes ont brûlé une copie du livre sacré des musulmans devant la mosquée centrale de Stockholm, dans un « rassemblement » autorisé par la police suédoise ce mercredi au premier jour de la fête musulmane de l'Aïd al-Adha.
La fête du sacrifice marque la fin du pèlerinage annuel du Hajj, auquel participent des millions de musulmans du monde entier.
S'exprimant jeudi 29 juin, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a dénoncé dans les termes les plus forts l'autorisation du gouvernement suédois de répéter un tel acte de profanation par des islamophobes basés en Suède.
« La Suède a ouvert la voie à la répétition des [actes] offensifs contre les saintetés divines, en particulier pendant les cérémonies musulmanes et la participation de millions de personnes au rassemblement international du Hajj, et cela est pris comme un acte inacceptable et provocateur », précisé le diplomate.
Kanaani a souligné : « Les actes de profanation des livres saints sont un exemple de la tendance [Stockholm] à inciter à la haine et à confronter les valeurs originelles des droits de l'homme. »
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Enfin, il a conseillé aux responsables suédois d'empêcher à l'avenir la répétition d'actes insultants contre les saintetés des autres pays et de prêter une attention particulière aux principes de responsabilité dans ce domaine.
La Suède tolère et même approuve régulièrement de tels actes de sacrilège sous la bannière de la tolérance des « protestations ».
En janvier, le double extrémiste danois et suédois, Rasmus Paludan, a brûlé une copie du Saint Coran devant l'ambassade de Turquie à Stockholm, puis à nouveau devant une mosquée.