Le Leader de la Révolution islamique, l'honorable Ayatollah Ali Khamenei, a fermement condamné la profanation du noble Coran "au nom de la liberté d'expression".
« La profanation insensée du noble Coran, qui est commise au nom de la liberté d'expression, montre que les attaques des puissances arrogantes visent l'islam lui-même et le noble Coran. Le Coran brille de plus en plus chaque jour et l'avenir appartient à l'islam malgré les complots des puissances arrogantes » a-t-il écrit sur son compte Twitter, mercredi 25 janvier.
Dans une autre partie de son message, l’Ayatollah Khamenei a précisé que tous les épris de liberté du monde devraient se tenir aux côtés des musulmans pour affronter le complot pervers qui consiste à profaner les valeurs sacrées et propager la haine.
Par ailleurs, le ministère iranien des Affaires étrangères a vivement condamné la profanation d’un exemplaire du noble Coran en Suède, une action qui est une incitation claire à la haine et à la violence envers les musulmans.
Hossein Amir-Abdollahian a souligné que le soutien des pays occidentaux à ce genre de provocations au nom de la liberté d'expression était inacceptable.
Le porte-parole de la diplomatie iranienne Nasser Kanaani a également déclaré que la profanation du Livre saint d'un milliard et demi de musulmans était une incitation à la haine et à la violence envers tous les musulmans du monde entier. Pourtant, de telles actions n'ont rien à voir avec la liberté d'expression et d’opinion.
Plusieurs pays dont la Jordanie, le Koweït, l'Égypte, les Émirats arabes unis et le Pakistan ont condamné à l'unanimité la profanation du noble Coran à Stockholm, en Suède.
Un extrémiste de droite suédo-danois, un dénommé Rasmus Paludan, a reçu le samedi 21 janvier l'autorisation du gouvernement suédois de brûler le Livre sacré des musulmans devant l'ambassade de Turquie à Stockholm.
Paludan était sous la protection de la police suédoise losqu'il a commis ce sacrilège, qui a exacerbé la colère le monde musulman.