Mahdi Abbassian,
PressTV, Téhéran
Un autre coup porté aux ennemis de la République islamique d’Iran, qui cherchaient à saper la sécurité nationale de l’Iran. Les appels à une grève de trois jours exhortant les propriétaires d’entreprises et les commerçants à fermer leurs magasins ont fait face à un échec significatif.
Le dernier jour de la soi-disant grève nationale, tout comme les deux premiers jours les commerces de la capitale, Téhéran, étaient ouverts et les affaires étaient comme d’habitude. Les gens étaient dans les rues, faisant leurs courses pour acheter ce dont ils avaient besoin. Cela indique que les Iraniens n’ont pas accueilli favorablement le récent appel à la grève lancé par les ennemis de la République islamique d’Iran et se sont plutôt plaints de leurs activités destructrices.
Les émeutiers se sont déchaînés à travers l’Iran, attaquant brutalement les agents de sécurité et causant des dommages massifs aux biens publics alors que les pays occidentaux, en particulier les États-Unis, les soutenaient.
Les responsables iraniens affirment que les émeutiers ont endommagé des voitures, des maisons, des propriétés publiques et privées. Des boutiques et des magasins ont été pillés et incendiés. Selon les statistiques officielles, les troubles en Iran ont entraîné plus de quarante millions de dollars de dégâts.
Les responsables iraniens affirment que les récents appels à des grèves nationales visaient à placer le gouvernement dans une situation difficile par des troubles. Cependant, le plan des ennemis pour relancer les émeutes, qui reculent depuis un certain temps, s’est soldé par un échec, car la plupart des commerces sont ouverts et se sont livrés à des activités quotidiennes comme avant.
