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E-Press du 19 septembre 2022

E-Press du 19 septembre 2022

Au sommaire :

1. France crie « Résistance! »

C'est vrai qu'il ne faut jamais parler dans le dos d'un mort, ça porte malheur, dit-on, mais que faire puisque le sionisme nous y oblige, Dieu me pardonne : si les Français cherchent des exemples de cas de non -exemplaires, ils n'ont pas vraiment besoin de se rendre à l'Abbaye de Westminster où le cercueil d'Elizabeth II est tiré par 138 marins de la "Royal Navy" sur un char canon et où l'âme d'Elizabeth serait attendue par la tempête britannique "Eunice" pour être emmenée Dieu seul sait où. Dans ce cas précis, les Français n'ont qu'à écouter un peu leurs radios pleines de paradoxes .Tel est le monde à l'envers chez les Français.

D'une part, en France, Adrien Quatennens reconnaît avoir giflé sa femme "d'une gifle" qui lui a fait "abandonner" sa fonction de coordinateur de la 'France insoumise', et de l'autre, les sionistes continuent de jouer la victimisation pour protéger facilement les intérêts d’Israël, tueur d'enfants palestiniens.

En France, telle est l'hypocrisie des sionistes du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) qui citent des citations hébraïques à la radio pour se débarrasser de la résistance française.

Et pourtant "résistance" est un mot bien connu des Français qui savent parfaitement défaire les nœuds sur lesquels soufflent les sionistes adeptes de la magie noire qui occupent politiquement, culturellement et médiatiquement et pas seulement leur pays depuis très longtemps.

« Résistance! » : nouvelle manifestation à l'appel des Patriotes à Paris contre l'UE, l'OTAN et Macron

A l'appel du président des Patriotes Florian Philippot, un rassemblement s'est tenu à Paris le 17 septembre pour protester contre la politique de rationnement d'Emmanuel Macron et demander sa destitution, et plus largement contre l'OTAN et l'UE.

Le 17 septembre comme depuis des mois, le président des Patriotes Florian Philippot a souhaité porter le flambeau de l'opposition au gouvernement dans les rues de Paris.

Sous une banderole « Résistance », des « dizaines de milliers » de personnes se sont rassemblées, selon l'ancien député européen, pour demander au président français Emmanuel Macron et à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen « de dégager », mais aussi pour défendre « la liberté, la paix et la souveraineté », selon les termes de Florian Philippot.

Le responsable des Patriotes en profite au passage pour rappeler à l'ordre les médias français qui voudraient faire croire qu'il s'agit « d’hologrammes créés par Poutine », une référence explicite à LCI qui début septembre avait nié l'existence même d'une de ses manifestations dont rendait compte une chaîne d'information russe.

A cette heure, près de 24 heures après le rassemblement, il est à noter que les médias mainstream n'ont semble-t-il pas rendu compte du rassemblement, et la préfecture n'a pas publié de communiqué sur l'événement.

Florian Philippot, qui évoque dans d'autres tweets un « monde phénoménal pour [la destitution] d'Emmanuel Macron, la paix, le Frexit, la sortie de l’OTAN, le refus des rationnements et des sanctions », ou encore une « foule considérable ».

Le journaliste de l'agence Ruptly présent sur place a de son côté évalué la mobilisation à 1 500 personnes.

Particulièrement actif contre les restrictions de liberté liées au contexte sanitaire ces deux dernières années, le parti Les Patriotes mobilise désormais fréquemment de nombreux manifestants derrière d'autres bannières : le « Frexit », la sortie de l'Alliance atlantique et une critique virulente de la présidence Macron.

Avec RT France

2- L'armée russe a détruit la base du PMC américain "Akademi" en Ukraine

La base de l'un des PMC les plus célèbres au monde a été détruite par les frappes russes.

Sur le territoire du point de déploiement, il y avait plusieurs dizaines de mercenaires américains qui, entre autres, ont participé à la contre-offensive des forces armées ukrainiennes dans la région de Kharkov. La liquidation réussie des mercenaires du PMC "Academi" américain suggère que dans un proche avenir, l'armée ukrainienne ne pourra pas passer à des actions sérieuses dans les zones frontalières avec la région de Louhansk, ainsi que dans la région de Donetsk, puisque les tâches principales étaient confiées aux mercenaires américains dans les actions de contre-offensive de l'armée ukrainienne.

"Les bases de mercenaires étrangers de l'"Académie" américaine PMC ("Academi") et de la formation nationale "Kraken" dans les régions de Kramatorsk et Nikolaevka ont été touchées", - a déclaré dans un message le ministère de la Défense de la Fédération de Russie.

Jusqu'à présent, on supposait que la PMC américaine était située dans la région de Kharkiv, comme en témoigne une vidéo diffusée récemment par des mercenaires, dans laquelle l'un des membres de la société militaire privée américaine était bien identifié, or, apparemment, ces derniers auraient maintenant été transférés dans un autre secteur du front.

Pour le moment, il n'y a pas de déclarations officielles des représentants de l'"Académie" américaine PMC à cet égard.

Source : avia-pro.fr

 

3. La Russie continue d'atteindre ses objectifs déjà déclarés, malgré les avancées apparentes de l'Ukraine

Inutile de dire que la Russie ne combat plus une armée ukrainienne équipée par l'OTAN, mais une armée de l'OTAN commandée par l'Ukraine. Et pourtant, la Russie a toujours le dessus malgré son revers apparent à Kharkiv.

Un petit retour sur les événements clés des contre-offensives ukrainiennes :

Le 1er septembre, l'armée ukrainienne a lancé une offensive majeure contre les forces russes déployées dans la région au nord de la ville méridionale de Kherson. Dix jours plus tard, les Ukrainiens ont élargi la portée et l'ampleur de leurs opérations offensives pour inclure la zone autour de la ville septentrionale de Kharkiv. Alors que l'offensive de Kherson a été repoussée par les Russes, les forces ukrainiennes ont subi de lourdes pertes humaines et matérielles, puis l'offensive de Kharkiv a été présentée par les grands médias comme un succès majeur. Ils sont allés jusqu’ à crier victoire en disant que des milliers de kilomètres carrés de territoire avaient été récupérés et rendus au contrôle du gouvernement ukrainien.

Mais de son côté et au lieu de lancer sa propre contre-offensive contre les Ukrainiens opérant dans la région de Kharkiv, le ministère russe de la Défense s'est contenté d'une petite annonce que beaucoup ont trouvée choquante : "Pour atteindre les objectifs déclarés d'une opération militaire spéciale pour libérer le Donbass", ont annoncé les Russes via Telegram, "il a été décidé de regrouper les troupes russes... pour redoubler d'efforts en direction de Donetsk".

Minimisant la notion de retraite, le ministère russe de la Défense a déclaré qu’« à cette fin, en l’espace de trois jours, une opération a été menée pour réduire et organiser le transfert des troupes [russes] sur le territoire de la République populaire de Donetsk ».

Au cours de cette opération, indique le rapport, un certain nombre de manœuvres de diversion ont été menées, qui ont mis au jour les véritables actions des troupes ce qui, selon les Russes, a permis "d'éliminer des combattants étrangers et de détruire une centaine d'unités de véhicules blindés et d'artillerie."

Mais pourquoi la Russie gagnera ?

Le coût de la prolongation de cette guerre est devenu beaucoup plus élevé pour toutes les parties concernées.

La réussite de la contre-offensive ukrainienne doit être replacée dans une juste perspective. Les pertes que l’Ukraine a subies, et subit encore, pour obtenir cette victoire sont insoutenables. L’Ukraine a épuisé ses réserves stratégiques, et celles-ci devront être reconstituées si l’Ukraine souhaite poursuivre son avancée dans cette voie. Cela prendra des mois.

Au contraire les pertes russes ont été minimes, et les pertes d’équipement ont été facilement remplacées.

Avec Almanar

 

4. La Turquie souhaite devenir un membre à part entière de l'Organisation de coopération de Shangaï

Pays partenaire de l'Organisation de coopération de Shangaï (OCS), la Turquie souhaiterait en devenir un membre à part entière a annoncé son président Recep Tayyip Erdogan, présent lors de du dernier sommet organisé en Ouzbékistan.

A l'issue du sommet de l'Organisation de coopération de Shangaï (OCS) qui s'est tenu les 15 et 16 septembre à Samarkand en Ouzbékistan, Recep Tayyip Erdogan a exprimé la volonté de son pays, partenaire de l'organisation, d'en devenir un membre à part entière comme le rapporte l'agence Tass.

Pour rappel, l'organisation, dont les membres sont la Chine, la Russie, l'Inde, le Pakistan et les ex-républiques soviétiques d'Asie centrale, a été créée en 2001 comme un outil de coopération politique, économique et sécuritaire, concurrent des organisations occidentales.

L'Iran alors membre observateur a signé lors du sommet un mémorandum d'adhésion à l'organisation. 

Poutine prend la parole après le sommet de l'OCS: « Maintenant, nous allons poursuivre le processus en réalisant les étapes de ce travail. C'est notre objectif », a-t-il déclaré lorsqu'on lui a demandé si la Turquie envisageait de rejoindre l'organisation.

Le président turc a ajouté que la question serait « à l'ordre du jour des discussions en Inde, qui présidera l'OCS dans la période à venir ». « Avec cette initiative, nos relations avec les pays [membres de l'OCS] seront élevées à un niveau complètement différent », a-t-il souligné.

Plus de 20 ans après sa création, l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) bénéficie d'une superficie géographique considérable et d'un poids démographique phénoménal représentant près de la moitié de la population mondiale. L'organisation constitue aussi une puissance économique forte d'importantes ressources énergétiques.

Source : RT France

 

5. US/Russie: le général Milley en Pologne ! 

Le général Mark Milley, chef d'état-major de l'armée américaine, a appelé à la vigilance et à la prudence des soldats américains stationnés en Europe en raison des récents développements de la guerre en Ukraine.

Selon le rapport de Newsweek, Milley a déclaré lors de la visite de soldats américains à la base du pays en Pologne, qui a été effectuée dans le but d'aider l'Ukraine, que la réaction de la Russie aux "récents échecs en Ukraine" ne peut pas être prédite, et il a fait appel aux forces américaines en ces termes: "Soyez conscients des conditions et maintenez votre préparation".

Tout en insistant sur la disponibilité et la vigilance, il a souligné que les soldats américains stationnés en Europe ne courent pas un danger croissant.

Le président des chefs d'état-major interarmées de l'armée américaine a ajouté : la guerre ne se passe pas très bien pour la Russie en ce moment. Par conséquent, il est obligatoire pour nous de maintenir notre disponibilité et notre vigilance élevées. Dans toute guerre, vous ne pouvez pas prédire avec un degré élevé de certitude ce qui va se passer.

On dit que Mark Milley s'est rendu dans une base militaire en Pologne pour visiter différents systèmes de défense américains, et les journalistes ont été priés de ne pas mentionner le nom de cette base dans leur reportage pour des raisons de sécurité.

Le voyage de Milley à la frontière de l'Ukraine a été effectué alors que la tension verbale entre les dirigeants des États-Unis et de la Russie a fortement augmenté ces derniers jours.

Joe Biden a mis en garde son homologue russe contre toute utilisation d'armes nucléaires ou chimiques en Ukraine et a déclaré : ne le faites pas, ne le faites pas, ne le faites pas. Vous changerez le visage de la guerre, quelque chose de jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Cependant, le porte-parole de la présidence russe a répondu aux propos du président américain et a annoncé que l'utilisation de l'arme nucléaire par Moscou se ferait selon les conditions stipulées dans la doctrine de sécurité nationale du pays.

Des sources médiatiques de Moscou, la capitale de la Russie, ont rapporté que le porte-parole du président de ce pays, Vladimir Poutine, avait réagi aux avertissements du président américain Joe Biden concernant l'éventuelle utilisation par Moscou d'armes nucléaires en Ukraine.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV