L’Iran a exprimé son opposition au projet de texte final du traité de désarmement nucléaire des Nations unies, affirmant que la déclaration ne laisse aucun espoir de changement du statu quo, car il est dominé par les puissances occidentales.
Asadollah Eshraq Jahromi, directeur général de la paix et de la sécurité internationale au ministère iranien des Affaires étrangères, a fait ces remarques à la fin de la dixième Conférence d’examen des Parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), qui se tient au siège de l’ONU à New York depuis le 1er août.
Comment peut-on analyser cette situation ? Luc Michel, géopoliticien, nous en dit plus.