Le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah a affirmé, le mardi 19 juillet, que la Résistance au Liban « détient le moment historique pour sauver le Liban ».
« Il n’y aura pas d’extraction de pétrole dans toute l’entité israélienne si le Liban ne prend pas son droit », a-t-il réitéré.
Seyyed Hassan Nasrallah a souligné que la guerre n’est pas inévitable.
Et le chef du Hezbollah d’ajouter: « Il se peut que nous allons à la guerre ou pas. Notre volonté n’est pas d’ouvrir un front, mais d’obtenir nos droits. Nous haussons le ton pour que les Américains et les Israéliens se soumettent, car le processus de l’effondrement du Liban se poursuit. Si, pour certains, la solution est la reddition, alors nous ne l’admettrons absolument pas. Et si le Liban ne fait pas pression aujourd’hui, il ne pourra plus tenir bon ».
Comment peut-on analyser ce discours ?
Ahmed Rami, directeur de Radio Islam en Suède, nous répond.