Parlant du port stratégique de Haïfa où l’entité détient le gros de son industrie petro gazier, ses projets ambitieux du pillage du gaz libanais, le gros de son industrie pétrochimique ou encore de ses bases navales, trop de « petits incidents » et partant d’explosions ont eu lieu ces derniers temps pour que l’observateur ne se demande pas : « que se passe-il ? » il y a quelques années de cela le secrétaire général du Hezbollah avait mis en garde Israël contre un scénario qui pourrait s’avérer aussi mortel qu’un scénario atomique si il se produisait à Haïfa à savoir un tout petit missile tactique doté d’ailerons aérodynamique « Labayk 1 » d’une portée d’à peine 300 km qui tiré depuis le sud du Liban s’abattrait à tout hasard sur l’un des complexe pétrochimiques du port, quitte à y provoquer une méga fuite d’ammoniac propre à polluer l’ensemble de la zone, et à y faire place nette comme le ferait une vraie ADM. Un tel scénario les Israéliens ont tout fait depuis que cette mise en garde a été lancée pour l’éviter à commencer par lancer des guerres d’abord au Liban puis en Syrie allant même jusqu’à frapper Beyrouth à coup de bombe semi nucléaire un certain août 2020 ou aller chercher la Chine pour qu’elle vienne investir à Haïfa et ce au mépris même des désidératas US façon d’immuniser le port vu que les liens entre la Résistance et la Chine sont aux beaux fixes.
Or ce scénario d’horreur où les sites pétrochimiques feraient l’objet de fuites suspectes, on y désormais et pleinement si on considère que depuis le mois d’avril 202 une dizaines d’incendies et de fuites ont eu lieu à Haïfa. Rien que cette semaines trois ont eu lieu avec deux ces dernières 24 heures, l’une frappant la principale raffinerie de Haïfa, l’autre, survenu ce matin même, dans un réservoir d’ammoniac et laissant échapper de la substance toxique.
Ce jeudi 16 juin, dixit les médias israéliens, une substance toxique et dangereuse s’est échappée d’une installation sur le port de Haïfa. Selon la chaîne 20 de la télévision israélienne, des matières dangereuses se sont échappées du port de Haïfa. Des équipes de secours sont arrivées dans cette installation portuaire pour ouvrir une enquête sur l’incident qui s’enchaîne à un incendie frappant lui aussi une raffinerie il y a quelques heures.
Le CGRI possède-t-il des cellules secrètes en pleine territoire occupés, à Haïfa où la cascade d’incendie au regarde de sa fréquence et de son ampleur te surtout de cibles choisies ne peut être en toute logique l’œuvre de simples saboteurs ? la question est ouverte d’autant plus que l’arme orbitale a bien fait son entrée dans l’arène des combats et quiconque posséderait une technologie satellitaire pourrait y parvenir.
Le 9 mars dernier, l’Iran a mis en orbite basse son seconde satellite militaire, Noor-2, satellite d’une vitesse de 7.6 km/s et qui 480 seconds après son lancement a atteint 500 km au-dessus de la surface de la terre. Le premier satellite iranien, Noor 1 est encore actif et selon les autorités, il a déjà tourné à plus de 10 000 fois autour de la terre. De Noor-2 le CGRI a dit officiellement qu’il est à la fois un satellite d’investigation mais aussi de reconnaissance. Noor-2 soit-il aussi lancer des bombes H de temps à autre quand il passe au-dessus d’Israël ? Et dire que les Iraniens affirment ne pas se contenter du Noor-2 et que leur objectif est d'atteindre les 36 000 km en orbite avec en toile de fond la création d'une constellation de satellites miniatures !
Pour quelle raison ? Premièrement, si l’ennemi choisit d’entraver le fonctionnement de ces satellites, il trouvera la tâche difficile à accomplir en raison de la multiplicité de satellites qui couvrent une région à partir de plusieurs angles. Deuxièmement, au cas où l’ennemi déciderait de tirer des missiles antisatellites, cela ne lui serait facile d’identifier ni d’intercepter plusieurs satellites en constellation. Troisièmement, si un ou deux satellites sont pris pour cible, les autres engins de ce groupe de satellites assureront au moins une partie de la couverture perdue. Et quatrièmement, l’interception et la destruction d’une constellation de satellites coûteront certainement plus cher à l’ennemi que de détruire un seul satellite. Mais toutes ces raisons semblent renvoyer à une seule, il y a une ligne de feu spatiale qui se trace contre Israël. Le général Jaafari ne l’a pas dit vertement mais 5 incendies en 7 jours à Haïfa cela veut dire que la prédiction de Nasrallah s’est déjà concrétisée peut-être pas d’un seul jet mais à 'petit feu' …En attendant de plus amples eclaircissements une cyberattaque revendiqué par les hackers de "Baton de Moîse" a réussi toujours cette nuit à plonger dans l'obscurité l'entité. N'est-ce pas que ce genre d'attaque est lui aussi capable de provoquer des incendies? tout au long de 2021, l'Occident nous a bassiné des oreilles par les compétences d'une entite sioniste, roi de la cyber qui aurait provoqué de "mystérieux incendies" à Natanz et dans d'autres sites nucléaires iraniens...
