À peine 24 heures après avoir tué deux Irakiens a Mossoul en prétendent avoir commis une erreur, les Yankee se mettent à tirer sur les irakiens non loin de leur base au Kurdistan irakien Harir. Est-ce la crainte de voir de nouveaux missiles et drones s'abattre à Harir comme en mars qui les a poussés a renouveller avec d'anciennes habitudes rompues sous les coups drone-missile de la Résistance ? Sans doute. Après tout cela fait deux ans que les attaques anti-US n'ont pas arrêté et que les Yankee n'ont pas bougé de leur base comme des rats en cage. Surtout qu’en cette année ļ2022 les choses semblent même empirer, les attaques en Irak se conjuguant aux attaques contre les bases US en Syrie. Et pourtant cela n'explique pas la raison de cette réapparition culottée des avions US dans le ciel irakien ou cette folie de tirer sur les maisons. Qu'y-a-il de plus? L'échec du projet de la récréation de Daech qui ne se fait plus parler de lui. En effet la Résistance irakienne en est désormais à faire capoter le moindre effort terroriste à son origine
Les troupes américaines stationnées dans la base aérienne d’al-Harir dans la province irakienne d’Erbil ont tiré lors d’un exercice anti-drone sur onze maisons et un véhicule civil dans la localité de Basarma du district de Shaqlawa.
Le commandant de Basarma a déclaré que la fusillade avait été effectuée en raison d’une erreur commise par les forces américaines lors d’un exercice anti-drone et qu’a la suite de l’incident un certain nombre de maisons avaient été endommagées, mais qu’aucune victime n’a été signalée.
Auparavant, plusieurs roquettes avaient touché la région de Khabat, dans la province d’Erbil, mais l’incident n’avait fait aucune victime.
Il convient de noter que ce n’est pas la première fois que la présence de troupes américaines en Irak entraîne des dommages financiers et humains.
Selon Saberin News, proche de la Résistance, les avions de combat américains ont visé des civils innocents dans la région d’al-Hadr au sud de Mossoul.
Deux bergers ont été tués dans le bombardement, selon le rapport.
« Les forces de sécurité irakiennes ont publié une déclaration affirmant que des terroristes ont été attaqués lors d’une frappe aérienne dans le désert d’al-Hadr au sud de Mossoul, mais en réalité les victimes étaient des civils innocents, dont des bergers », a rapporté Saberin News.
Au fil des ans, les États-Unis ont bombardé des cibles civiles sur la base de fausses informations en particulier en Irak, en Syrie et en Afghanistan, tuant des milliers d’innocents, y compris des enfants.
C’est dans ce contexte qu’une source bien informée a révélé, lundi 9 mai, les détails de l’échec d’un vaste complot visant à faire passer clandestinement des détenus de la prison d’Al-Kifl qui sont condamnés à mort et à la réclusion à perpétuité selon des affaires terroristes majeures.
Soulignant que cette mesure a reçu un important soutien extérieur, la source a déclaré que le plan visait à mettre en danger la santé d’un certain nombre de prisonniers en buvant des eaux usées, les obligeant à être transportés à l’hôpital.
En effet, un certain nombre de prisonniers ont bu des eaux usées et ont été transférés à un hôpital turc du gouvernorat de Babylone pour y être soignés, avant que les services de sécurité compétents ne révèlent le stratagème et ses détails », a-t-il ajouté.
Il a déclaré qu’après la révélation du plan d’évacuation, les forces de sécurité s'étaient mises en alerte et que des mesures de sécurité strictes avaient été mises en place à l’hôpital et dans la chambre de chaque détenu hospitalisé.
La source a expliqué que certains prisonniers avaient perdu la vie à cause des effets graves de la consommation d’eaux usées, et d’autres souffraient d’insuffisance rénale ajoutant que beaucoup d’entre eux étaient toujours soignés à l’hôpital turc et recevaient des services médicaux exceptionnels.
Selon le rapport, le plan d’évasion était soigneusement planifié qui semble avoir été élaboré depuis longtemps, très similaire à l’évasion des prisonniers de la prison d’Abu Ghraib en 2013 avant que Daech n’envahisse l’Irak en été 2014.
Il a noté que selon des informations préliminaires, le complot a été soutenu par des organisations internationales au niveau de la planification.
En 2013, un certain nombre de terroristes d’al-Qaïda ont pris d’assaut deux grandes prisons de sécurité, Abu Ghraib et al-Hout, près de Bagdad, et près de 800 prisonniers terroristes, dont certains dirigeants les plus importants du groupe, se sont évadés.
En février dernier, après qu’un certain nombre de terroristes de Daech ont réussi à s’évader de la prison d’al Ghwayran de Hassaké, Bagdad a pris des mesures de sécurité strictes dans des prisons remplies de terroristes de Daech.
Des centaines de terroristes se sont évadés de la prison d’al-Sinaa aussi appelée Ghwayran sous le contrôle des « Forces démocratiques syriennes » (FDS), tandis que certaines sources ont explicitement déclaré que ces dernières auraient fait fuir 750 terroristes de Daech de la prison.