La poursuite des attaques anti israélienne en Palestine historique et en Cisjordanie avec un leitmotiv, Jénine est désormais une obsession voire une menace existentielle pour le régime sioniste. Depuis une semaine l'entité cherche à s'en prendre du camp devenu un véritable QG de la guerre d'attrition contre l'entité sans succès car d'abord elle n'ose ps et ensuite elle ne peut pas. Envoyer trois bataillons composés de soldats dont mille cherchaient pendant 9 heurs un seul combattant Ra'ad Fathi, cela veut dire qu'une descente à Jénine deviendrait un acte suicidaire surtout que Gaza l'a annoncé haut et fort il ne lâcherait pas Jénine, que ses missiles sont là pour le défendre.
Le secrétaire général du Jihad islamique dont les combattants sont en alerte maximal depuis quelques heures et se font désormais entièrement aidés par Fatah qui a lancéh Abbas pour la lutte contre Israël le disait ce matin : "on attend l'ennemi de pieds ferme non pas à Jenine devenu déjà un QG de guerre anti sioniste amis encore à Khan Younes en pleine de mutation armée depuis peu. Que puisse faire l'entité? Rien de particulier car dans tous les cas de figure Israël va perdre : avec ou sans attaquer Jénine. Les Sionistes sont devenu déjà fous se tirant les uns sur les autres!
L’escalade des opérations-martyre palestiniennes contre les Israéliens a contraint le cabinet de sécurité du régime à avouer le nouvel échec de l’armée israélienne et à décider de la construction d’une barrière de 40 km de long dans le nord de la Cisjordanie.
Après que le ministre israélien de la Sécurité intérieure, Omer Barlev, a annoncé que le régime devait lancer une vaste opération militaire dans le camp de réfugiés de Jénine pour s’imposer encore une fois comme la seule « puissance » dans la zone et cela en pleine faiblesse devant les Palestiniens, les soldats israéliens ont fait irruption, le samedi 9 avril, dans le camp de Jénine, finissant par enregistrer une nouvelle défaite cuisante pour le régime. L’armée israélienne a pris d’assaut, samedi à l’aube, le camp de réfugiés de Jénine pour trouver et détruire la maison du martyr Raad Hazem, l’auteur de l’opération de Tel-Aviv. Mais cette attaque a été confrontée à la résistance des combattants palestiniens.
Les journalistes qui avaient accompagné l’armée israélienne, ont fait état d’intenses et graves affrontements armés. Les habitants ont courageusement résisté en lançant des pierres sur les militaires du régime. L’opération de « dissuasion » du régime n’était qu’une nouvelle défaite pour Israël, comme l’a d’ailleurs reconnu l’ancien ministre de la Guerre Shaoul Mofaz, à l’antenne de Canal 13 de la télévision israélienne.
« Nous n’avons pas encore atteint ce point de préparation mais nous allons nous y rapprocher. De tels incidents ont certes des répercussions de longue durée, il nous faut donc utiliser tous nos moyens, a dit Omer Barlev, lors d’une interview avec la radio de l’armée israélienne. « Certes, l’entrée de trois bataillons de l’armée au camp de Jénine provoquerait des réactions de la part de Gaza, c’est entre autres l’une des réalités qu’il faut prendre en considération. »
Dans la foulée, le responsable du bureau de presse du Jihad islamique de la Palestine, Davoud Shahab a noté : « Par leur opération contre le camp de Jénine, les occupants sionistes ont essayé de compenser leurs échecs et redorer leur blason ; inutile car ils se sont retrouvés face à la ferme résistance palestinienne. »
Nulle part en Palestine occupée n’est sûre pour le régime sioniste
Critiquant la faille de sécurité du régime et son approche déséquilibrée face aux Palestiniens, un écrivain sioniste a déclaré que les récentes attaques palestiniennes nous ont conduits au bord de la folie.
« Les tactiques des attaques palestiniennes changent, mais elles ont toutes un seul et unique but : resserrer l’étau autour des Israéliens », a écrit Ron Adlist pour Maariv.
« Dans de telles conditions, le cabinet israélien, essayant de calmer la situation, a permis le port d’armes à tous les Israéliens tandis que les soldats et policiers sont déployés partout et les forces commandos circulent dans les rues. Cela signifie que l’État est au bord de la folie car il n’est pas logique qu’un pays soit en état d’alerte permanent », a-t-il indiqué.
Or d’aucuns au sein des milieux sionistes estiment que la seule solution à cette crise, permettant les Israéliens à retourner à la vie normale, réside dans le contrôle simultané de la situation sur les cinq fronts à savoir, la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Liban, la Syrie et l’Iran. Ainsi, l’entité réduira les affrontements et limitera les points de conflits aux frontières. D’autres estiment par contre qu’il faut continuer d’affronter les Palestiniens puisque ces derniers ne veulent pas partager leur pays, ils veulent ou bien tout ou bien rien (la mort). Il n’y a donc aucune autre solution que le recours à la force.
Or c’est bien là l’une des grandes erreurs du régime sioniste, de croire que dans une telle situation, le Hamas n’entrerait pas en combat ; la même erreur que les Sionistes ont commis en mai 2021 avant d'en payer le prix.
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