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Attaques imminentes à l'uranium appauvri contre Belgorod et Saint-Saint-Pétersbourg? ..Poutine passe à la Résistance

Les missiles tactiques russes tirés contre les réserves de pétrole ukrainiennes.

L'axe US-OTAN ira-t-il jusqu'à attaquer directement la Russie? C'est une hypothèse qui se renforce de jour en jour rien qu'au regard du ton et de la manière dont l'entité israélienne, méga soutien des oligarques au pouvoir à Kiev a laissé tomber les masques pour dénoncer, sans peur d'une riposte par procuration russe qui pourrait tout simplement trouver son excellente expression en Syrie, non loin du Golan occupé où l'axe de la Résistance meurt d'envie de passer à l'acte, la Russie et son armée de crimes de guerre à Boutcha et ce par la voix d'un ministre des AE dont l'apparition cette semaine dans l'enceinte de la mosquée d'al-Aqsa a servi d'ultime provocation anti-Palestine et partant de motif à une répression plus sanglante des Palestiniens à Qods, en Cisjordanie et en Palestine historique. Cette semaine, des sources d'information ont fait état de la troisième tentative des forces US-OTAN destinée à évacuer de Marioupol, le visiblement QG des opérations de guerre directe contre la Russie que les unités tchétchènes ont libérée, les officiers français, allemands, suédois, israéliens ... qui pilotaient jusqu'à il y a quelques jours la guerre de "l'armée ukrainienne" contre la Russie.

En effet, le 28, le 31 et le 5 avril, trois tentatives d'évacuation (évasion?) héliportées des officiers de l'OTAN ont échoué, les unités hélico ayant été abattu par des missiles sol air US. Le pourquoi de cette obstination, l'observateur averti ne pourrait qu'en demander la raison et ce serait encore des fuites qui dirigeraient droit à la réponse : outre l'armée française qui a impliqué au pire moment pour le président Macron dans la guerre par légionnaires mais encore hauts gradés interposées, il y aurait aussi des généraux américains pris au piège à Marioupol. Certaines sources bien informées évoquent le nom d'un général de l'armée américaine Roger L. Cloutier qui aurait eu la charge d'assurer la liaison avec le système de transmission de données AWACS, et de conseiller les radicaux d'Azov en termes de traitement de données et d'informations satellitaires.

Le fait qu'un général du Pentagone se fasse prisonnier, suffit-il à déclencher une offensive directe contre la Russie? Peut-être pas d'où le scénario du massacre de Boutcha monté de toute pièce comme en son temps celui des attaques chimiques en Syrie. D'ailleurs, et ceci plus d'un analyste le confirmeraient, un recours à une opération de fausse bannière avec de la substance chimique quelque part en Ukraine afin d'en accuser la Russie et de déclencher sous son prétexte la guerre n'est plus à écarter, les découvertes russes de ces derniers jours à Marioupol pouvant être trop embarrassant pour l'axe US-Otan. On se rappelle en effet comment le trio US-GB-France s'en est pris un certain 7 avril 2017 et à coup de ses 59 missiles Tomahawk à la base militaire d'al-Chaayrate en Syrie est, où il prétendait vouloir détruire les stocks syriens totalement démantelés en 2013 et ce, dans la foulée d'un "False flag" chimique que ses "casques blancs" avaient organisé à Khan Cheikhoun. 

Or au train où vont les découvertes à Marioupol, sauf une opération fausse bannière serait "sauver" les USA des grandes eaux où les Russes ne tarderont pas de les noyer. Des fuites basées sur des témoignages des habitants des quartiers libérés de Marioupol par l'armée russe affirment que le QG des brigades d'Azov qui se trouve dans une usine sidérurgique de la ville, QG qui abriterait le général américain, ses supplétifs français, israéliens et otaniens serait érigé sur un énorme laboratoire de recherche bactériologique sous terrain où les prisonniers d'une prison voisine auraient servi de cobayes. Les Yankees et leurs supplétifs accepteraient-ils de céder aux Russes de si grandes preuves de leur absolue criminalité?

Il y en a lieu d'en douter et c'est ce qui explique d'ailleurs les déclarations de plus en plus fréquemment émis ces derniers jours des officiels du Pentagone, de l'OTAN axées tous sur "une longue guerre anti Russie en Ukraine". Mais est-ce tout? A vrai dire les 42 jours de combats en Ukraine ont prouvé aux Américains qu'il est impossible de faire plier les Russes, que ces derniers n'avaient fait usage que d'une partie de leur force, que leur tactique largement influencée par leur présence en Syrie avait changé, que les sanctions économiques, gazières, financières et monétaires ne les briseraient pas, Moscou s'étant largement prémuni et ayant des partenaires fort fiable pour les surmonter.

Comment comptent-ils alors d'inverser la donne? Il existe des données dans le domaine public qui permettraient de supposer avec un degré élevé de probabilité que Washington pourrait fournir au régime de Kiev des munitions à l'uranium appauvri, estime Topwar.ru dans un récent rapport. Naturellement, aucune déclaration à ce sujet n'a été reçue des autorités américaines ou ukrainiennes mais deux messages assez caractéristiques apparus dans l'espace médiatique dans un laps de temps très court, rendent plausibles les soupçons.
Début avril, le Pentagone a de nouveau annoncé son intention de fournir une aide à l'Ukraine d'un montant de 300 millions de dollars. 

La liste comprendrait des drones, des systèmes pour les combattre, des véhicules blindés à diverses fins, des équipements de terrain, des médicaments, des pièces de rechange, etc. Rien de trop anormal sauf que le Pentagone affirme que le lot contiendra des «munitions non standard de petit et gros calibre», ainsi que des mitrailleuses ou des pistolets automatiques «non standard». Aucune explication sur le vague libellé "non standard".

Or à peine quelques jours après cette annonce, la Corée du Sud, devenue vecteur de guerre US contre la Chine, annonce avoir transféré plus d'un million de munitions à l'uranium appauvri à l'US Air Force, qui avaient été stockées pendant assez longtemps sur l'un des aérodromes militaires locaux. Cette nouvelle a littéralement provoqué la jubilation de la population locale, qui pendant de nombreuses années a tenté en vain de convaincre les autorités locales d'abandonner le stockage responsable des dangereux "cadeaux" américains.

Sont-ils destinés à l'Ukraine? Sans doute. Iront-ils être utilisés contre la Russie? Très probable. Après tout, rien n'empêche l'axe atlantiste de se comporter envers les Russes comme il s'est déjà comporté contre les Irakiens, les Afghans et les Yéménite, la Russie ne faisant plus désormais partie du monde occidental.

La question qui se pose dès lors est la suivante : qu'est-ce qui empêche la Russie de réagir elle comme les Irakiens, les Yéménites et les Afghans et de s'allier à l'axe de la Résistance? Une alliance intégrale, sans exception aucune? Après tout le front anti-Empire en Syrie est particulièrement vif et les Russes y sont depuis des années. Il suffit tout simplement qu'ils changent quelque peu de cible mais de calibre.

Début avril une première patrouille Russie-Hezbollah-Armée syrienne a eu lieu au Golan syrien non loin du Golan occupé? Ce fut un très bon début quand on se rappelle que les patrouilles aériennes syro-russe dans cette même localité remontent à plusieurs semaines déjà. Certes l'entité israélienne, partie prenante de la guerre anti-Russie en Ukraine n'a pas osé de frapper à nouveau la Syrie depuis le 7 mars, date à laquelle deux officiers iraniens ont été tué à damas et ce par crainte de la riposte iranienne.

Mais au stade où sont les choses, il faut que le contingent russe en Syrie sorte de sa posture "neutre" et devenir "offensif". Cette posture offensive, la Résistance l'affiche en ce moment, elle qui a conduit la guerre en pleine territoire d'Israël, quitte à pousser l'armée sioniste à vider le front et à le rendre bien propice à l'assaut. Que la Russie y porte aussi sa contribution. les bombes à uranium appauvri à tirer contre Belgorod et Saint-Saint-Pétersbourg, c'est au Golan qu'il faut les empêcher ... 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV