Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général de division Hossein Salami a mis en garde les États arabes du golfe Persique contre la menace que représente la présence israélienne pour eux et pour la sécurité de la région.
Accompagné de l'amiral Alireza Tangsiri, commandant de la marine du CGRI, le général de division Hossein Salami s'est rendu mercredi 30 mars sur l'île de Bou Moussa dans le golfe Persique pour se renseigner sur l'état de préparation des unités militaires qui y sont stationnées.
En allusion à la situation sécuritaire dans le golfe Persique, le détroit d'Hormuz et la mer d'Oman, le général de division a évoqué les agissements des Israéliens dans cette région névralgique.
« Malheureusement, certains régimes au sud du golfe Persique ont établi des relations politiques et sécuritaires avec le régime sioniste, qui constitue une grave menace pour la sécurité de la région et en particulier pour celle de ces régimes eux-mêmes », a-t-il dit. Et de poursuivre : «Nous déclarons et avertissons explicitement que la poursuite de telles relations n'est pas du tout acceptable ».
Il est clair que le commandant iranien fait allusion a ces radars d'interception et à ces missiles intercepteurs que les Israéliens veulent déployer dans le golfe Persique moins pour la sécurité de leurs hôtes dont ils serviront de bouclier que pour intercepter de façon précoce tout éventuels missiles a longue portée iraniens tirés contre Israël .
Le journal israélien, Globes a rapporté que le Maroc, les Émirats arabes unis et Bahreïn ont demandé à Israël de leur vendre des systèmes de défense aérienne, notant que Tel-Aviv étudie ces demandes.
Selon le journal, les deux émirs du golfe Persique souhaitent acquérir les systèmes anti-missiles, Dôme de fer et Arrow ainsi que le radar Green Pine.
Or l’efficacité de Dôme de fer est déjà remise en cause. On estime que chaque système Dôme de fer coûte des dizaines de millions de dollars sans les intercepteurs, soit 50 000 dollars par missile.
Quant à la capacité d’interception du Dôme de fer, son taux d'interception effectif est de 30 à 40 % dans les meilleurs cas et en dessous de 10 % pour ne pas dire c’est du bluff comme l’a dit un critique israélien. Et puis le système est sorti vaincu de la première bataille générale qu'il a connu Epee de Qods .
Mais le radar d'interception made in Israël que ce soit Green Pin ou ceux de Dôme fer vient de perdre un autre défi plus uand récemment un drone du Hezbollah à réussi à penetrer la Galilée haute et à y faire une mission de reconnaissance de 40 minutes puis échapper à la dernière minute aux radars des Apache Israéliens qui croyaient pourtant l'avoir abattu. De quel type de drone s'agissait-il? Hassan qui semble être un parant de Mohajer 4
Le drone Mohajer-4, conçu à la fois pour l'armée iranienne et le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), D’une longueur de 3,64 m et d’une envergure de 5,3 m, le Mohajer-4 a une conception modulaire et des composants tels que le corps, les ailes et les poutres de queue peuvent être détachés et recombinés.
Le Mohajer-4 dispose d'un système de guidage et de contrôle Hyarat-3 qui comprend la navigation GPS. Il suit normalement une trajectoire de vol préprogrammée, mais son profil de mission peut également être mis à jour en vol via une liaison radio montante.
Il est équipé d'une caméra fixe orientée vers l'avant pour la navigation et d'une caméra orientée vers le bas pour les levés aériens ou d'une caméra vidéo montée sur cardan pour la surveillance.
Mieux Mohajer 4 dispose d'un radar de recherche et d'interception marine propre à devancer les meilleurs Green Pin qui soit. C'est cette capacité qui créé un AD/A2. Et comment? Mohajer 4 permet l'identification des cibles marines bien plus efficacement que n'importe quel radar au sol puisqu'il est mobile survolant les zones. Puis il est dotés de ESM ce dispositifs qui en plein combat permet l'interception la localisation des cibles.
L'analyse des signaux radars des ondes satellitaires ou radars comme ceux transmission par le Green Pin
Un Mohajer 4 est fait pour alerter des systèmes missiles de l’existence des radars, façon de permettre aux unités de missiles anti-navires de tirer sur eux . Puis Mohajer 4 a été mis à l'epreuve des faits mais pas Green Pin.
