TV
Infos   /   Iran   /   Moyen-Orient   /   Amériques   /   Asie   /   Europe   /   E-PRESS   /   L’INFO EN CONTINU

E-Press du 6 mars 2022

E-Press du 6 mars 2022

Au sommaire :

1-Ukraine : Chant de sirène pour tuer l’Europe 

Est-ce que le recrutement de Français pour combattre en Ukraine est légal ?

Le 25 février, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a exhorté les citoyens de pays européens à venir se battre en Ukraine contre la Russie.

Des citoyens français s’engagent actuellement pour aller faire la guerre en Ukraine. L’ambassade d’Ukraine à Paris, comme France Info le rapporte, organise le transfert de ces volontaires français pour accéder au territoire ukrainien et aux zones de combats.

Est-ce que l’appel du président ukrainien est légal ? Est-ce qu’une ambassade d’un pays étranger en guerre basée en France peut organiser un tel envoi de combattants ? Est-ce que des Français peuvent légalement aller se battre dans un autre pays pour joindre une Légion internationale ? Sommes-nous, tout simplement, en train d’assister à un changement de loi sur le mercenariat ?

Mais que dit le droit ? Concernant les questions pénales, il existe la Convention internationale contre le recrutement, l’utilisation, le financement et l’instruction de mercenaires. Elle date du 4 décembre 1989 et est entrée en vigueur le 20 octobre 2001. L’Ukraine a signé cette Convention le 21 septembre 1990.

L’article 436-1 du Code pénal français dit : « est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende le fait : 1 ° Par toute personne, spécialement recrutée pour combattre dans un conflit armé et qui n’est ni ressortissante d’un État parti audit conflit armé ni membre des forces armées de cet État, ni n’a été envoyée en mission par un État autre que l’un de ceux parties au conflit en tant que membre des forces armées dudit État, de prendre ou tenter de prendre une part directe aux hostilités en vue d’obtenir un avantage personnel ou une rémunération nettement supérieure à celle qui est payée ou promise à des combattants ayant un rang et des fonctions analogues dans les forces armées de la partie pour laquelle elle doit combattre ;

2 ° Par toute personne, spécialement recrutée pour prendre part à un acte concerté de violence visant à renverser les institutions ou porter atteinte à l’intégrité territoriale d’un État et qui n’est ni ressortissante de l’État contre lequel cet acte est dirigé, ni membre des forces armées dudit État, ni n’a été envoyée en mission par un État, de prendre ou tenter de prendre part à un tel acte en vue d’obtenir un avantage personnel ou une rémunération importants. L’article 436-2 du du Code pénal n° 2003-340 du 14 avril 2003 dit « Le fait de diriger ou d’organiser un groupement ayant pour objet le recrutement, l’emploi, la rémunération, l’équipement ou l’instruction militaire d’une personne définie à l’article 436-1 est puni de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 euros d’amende ».

Des arrestations de certains volontaires. Mardi soir, des policiers ont procédé au contrôle d’un bus en partance pour l’Ukraine dans le 12e arrondissement de Paris. « À son bord, une trentaine de passagers désireux de se rendre sur le terrain de guerre situé à 2300 km de là. Parmi eux, des civils, mais aussi 14 militaires de la Légion étrangère d’origine ukrainienne », indique TF1. Le média français a rajouté que « tous ont été remis en liberté sauf les 14 soldats de la Légion étrangère qui ont été remis aux autorités militaires afin de déterminer leur statut » et que « le bus a pris la route avec une vingtaine de personnes, mardi soir ».

Les Échos donnent un autre témoignage « d’un jeune homme » qui « est parti pour la frontière ukraino-polonaise via un bus dépêché par des groupes de civils » : « Au départ, je voulais rejoindre une organisation humanitaire, mais en me rendant à l’ambassade d’Ukraine en France, j’ai vu d’autres Français (civils, anciens militaires, médecins, etc.) et j’ai pensé que je pouvais moi aussi combattre ». La police française a arrêté les militaires, mais pas les volontaires civils. Parmi les autres passagers du bus, certains des civils étaient en possession de matériels indiquant, pourtant, qu’ils partaient au combat.

La ministre française des Armées, Florence Parly, a affirmé que « certains [parmi les légionnaires français] sont en permission et cela nous ne regarde pas. Ceux qui sont de nationalité ukrainienne n’ont pas l’autorisation de se rendre en Ukraine. On ne peut pas voir un légionnaire français en Ukraine, car les armées françaises ne sont pas parties prenantes dans ce conflit. Il n’y a pas de militaires français déployés en Ukraine ». Assistons-nous à une modification de la loi concernant le mercenariat ?

Observateur Continental a demandé une réponse à ces questions à l’Assemblée nationale et surtout à sa Commission des Affaires étrangères par téléphone et mail le mercredi 2 mars et, de nouveau, par mail le jeudi 3 mars. En interne, un responsable de service à l’Assemblée nationale a confirmé que l’envoi de Français pour combattre dans un pays étranger (Ukraine) est illégal.

En attente d’une réponse, une discussion a eu lieu avec un collaborateur de l’Assemblée nationale investi dans les Affaires étrangères.

En effet, le 1er mars un échange sur la situation en Ukraine avec Clément Beaune, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé des affaires européennes, a eu lieu en Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale et cette question sur l’appel du président ukrainien de recruter des Français pour aller se battre en Ukraine n’a pas été du tout évoquée.

 Interlocuteur du site web Reseau international qui souhaite rester anonyme et qui, même s’il avoue n’avoir aucune expertise sur le sujet, explique qu’on lui a dit que c’est « illégal ». Selon lui, il faut savoir si c’est interdit et s’il y a des procédures de poursuites. « Si on le sait [qu’ils vont se battre dans un autre pays], la police leur retire leur passeport au moment de quitter le territoire. Si, ils sont à l’étranger, la police ou la justice française n’ont plus les moyens de les rattraper et on ne peut que le faire à leur retour sur le territoire français », a-t-il fait savoir.

Observateur Continental reste étonné de voir que les médias ne se posent pas la question sur cet envoi de combattants français en Ukraine, à savoir si cela est bien légal ?

Source : Réseau international

2-Armes russes pleuvent sur l’Ukraine !

L’armée russe dit avoir déjoué « une provocation monstrueuse » à la centrale nucléaire de Zaporojie

Dans la nuit de jeudi à vendredi, les nationalistes ukrainiens ont échoué dans l’exécution d’« une énorme provocation » visant les troupes russes qui depuis le 28 février ont pris le contrôle de la centrale nucléaire de Zaporojie, indique le ministère russe de la Défense.

La Défense russe a accusé ce vendredi 4 mars le régime de Kiev de tenter de mettre en œuvre « une provocation monstrueuse » sur le site de à la centrale nucléaire de Zaporojie, la plus grande d’Europe.

Sputnik France revient sur les circonstances de cet évènement

« Vers 2 heures du matin, alors qu’elle patrouillait dans la zone protégée adjacente à la centrale, la Garde nationale a été attaquée par un commando de sabotage ukrainien.

Depuis les fenêtres d’un bâtiment du complexe de formation situé à l’extérieur de la centrale électrique, le feu a été ouvert contre les militaires russes.

Les points de tir du commando ukrainien ont été neutralisés.

En quittant le bâtiment, le groupe de sabotage ukrainien a mis le feu au bâtiment », selon Igor Konachenkov.

D’après les témoignages de ce dernier, les déclarations de Volodymyr Zelensky qui ont suivi les faits et portaient sur une prétendue menace à la centrale nucléaire ne laissent aucun doute sur le fait qu’il s’agissait d’une provocation.

« Le but de la provocation du régime de Kiev à l’installation nucléaire était d’accuser la Russie de créer une source de contamination radioactive.

Tout cela témoigne de l’intention criminelle du régime de Kiev ou de la perte totale de contrôle par Zelensky sur les actions des groupes de sabotage ukrainiens dont font partie des mercenaires étrangers », a-t-il ajouté.

Il a souligné que la ville d’Enerhodar, la centrale nucléaire de Zaporojie et le territoire adjacent sont passés sous le contrôle des forces armées russes le 28 février.

« Les militaires de la Garde nationale ukrainienne qui gardaient la centrale nucléaire ont quitté le site avant l’arrivée des unités russes et se sont enfuis dans une direction inconnue », a-t-il précisé.

Incidemment, il convient de noter que les mercenaires ukrainiens utilisent des civils comme boucliers humains pour ralentir l’avancée de l’armée russe qui, selon la déclaration de Poutine, ne devrait attaquer que des cibles militaires et cela explique pourquoi un très long convoi militaire de l’armée russe reste sur la périphérie de Kief.

Cela étant, trois navires et un voilier russes ont arrêté en France, selon l’ambassadeur russe.

Faisant part de trois navires et un voilier russe arrêtés en France, l’ambassadeur russe à Paris estime que pour la Russie les eaux territoriales de l’Hexagone « sont aujourd’hui devenues similaires aux eaux territoriales de la Somalie ».

Trois navires et un voilier russes ont été arrêtés en France, a déclaré ce 4 mars l’ambassadeur russe à Paris, Alexeï Mechkov.

« Trois navires et un voilier russes ont été arrêtés... Actuellement des navires sont saisis pratiquement sans aucune explication, ils sont fouillés, rien n’est trouvé. Tout est envoyé aux autorités judiciaires, et certainement personne ne peut dire quand les autorités judiciaires prendront des décisions », a déclaré Alexeï Mechkov à la chaîne de télévision Rossiya 24.

Source : Sputnik

3-Ukraine : l’OTAN a tué le dialogue !

En Ukraine, le pouvoir central a complètement échappé aux mains de Zelensky et est tombé directement entre les mains de l’oligarchie sioniste ukrainienne qui utilise son argent pour former des milices.

Après s’être rendu une dizaine de fois à Genève pour réviser ses leçons avec son mentor, l’oligarque Igor Kolomoisky, un criminel poursuivi jusque par le FBI, et puis confortablement installé dans son bunker d’où il diffuse tranquillement ses interviews magistrales pleines de mensonges et d’hypocrisie devant une foule de journalistes qui l’écoutent bouche bée et arborant un t-shirt à manches courtes vert militaire à l’israélienne et entonnant des chants de sirènes aux candides jeunes occidentaux en quête d’aventure après plus de deux ans d’isolement pandémique, de jeunes passionnés et aveuglés par leur enthousiasme et piégés dans l’embuscade du sionisme cupide voulant entraîner tout le monde dans l’enfer de la troisième guerre mondiale, il ne manque plus à Zelensky que des avions à cet effet et un animateur survolté, commentant cette première conférence diffusée par LCI le 3 mars, lance « C’est un chef [de guerre] qu’on a envie de suivre », mais franchement, mon confrère qui t’empêche de te sacrifier pour la bonne cause ?

Tout ce cirque, parce que ce conflit russo-ukrainien, préprogrammé de A à Z par le clan sioniste, se joue essentiellement dans notre imaginaire collectif et les médias grand public surfent et zigzaguent à leur guise sur les ondes avec cette nuance que cette fois, la peur a été ingénieusement instrumentalisée « comme une arme subversive et cela parce que la survie des sionistes est en jeu ».

Selon le tout nouveau paradigme présenté par les impérialistes, la vérité dépend de la perception de chacun et donc aucune frontière n’existe en soi : Bienvenue dans la société ouverte de Soros l’antéchrist où tous les coups sont permis.

Visiblement gêné par la question d’un journaliste qui lui a posé lors de sa première conférence de presse sur la guerre : Monsieur le Président, avez-vous demandé l’aide de l’État d’Israël en matière de technologie militaire, que leur avez-vous demandé d’autre en tant que Juif ? Avez-vous des attentes vis-à-vis d’Israël ? Il répond après une pause : Humm, mes attentes ; merci, merci pour cette question ; aujourd’hui j’ai vu une photo, des juifs contre le mur de lamentations et d’autres se couvrant du drapeau jaune et bleu, le drapeau ukrainien, je suis tellement reconnaissant.

Zute !, j’ai failli l’oublier : un membre de la première délégation ukrainienne à Gomel, Denis Kireev, vient d’être liquidé par le SBU. Selon les informations relayées par le site Topwar, Kireeva aurait été éliminé par le Service de sécurité ukrainienne et comme indique la source, « Il aurait résisté lors de son arrestation et a été abattu par l’un des agents du renseignement ukrainien ».

Kireev était en fait soupçonné par Kiev de trahison : « il faisait partie du cercle restreint de l’oligarque Andrei Klyuev qui s’était évadé en Russie, et ce, alors que ce dernier était un associé de Viktor Ianoukovitch. Kireev a été abattu alors qu’il était détenu par des agents du SBU.

Un membre de la première délégation ukrainienne de Gomel, Denis Kireev, a été tué (...) Il était soupçonné de trahison (...) Comment il est entré dans la délégation ukrainienne pour les négociations avec les occupants - je veux vraiment être tenu informé par le président - a écrit Dubinsky dans sa chaîne Telegram. Pour le moment Kiev se refuse à tout commentaire officiel, et pour cause.

Denis Kireev a en effet été l’un des premiers négociateurs ukrainiens à Gomel, mais pas le principal, son nom n’a donc été mentionné dans aucun rapport. Il a été liquidé par le SBU à la demande d’une des autorités ukrainiennes.

Selon les médias sociaux, Zelensky a cédé le pouvoir à Kiev aux oligarques ukrainiens, pour la plupart sionistes, qui forment maintenant leurs propres milices pour étendre le conflit russo-ukrainien aux quatre coins de l’Europe.

Le chef du Conseil national de sécurité et de défense, Danilov, avait promis la veille de tirer “sans procès ni enquête” sur toute personne soupçonnée de travailler pour Moscou.

Après l’incident avec le député détenu de la plate-forme d’opposition à vie Shufrich, qui aurait supprimé des postes de défense, Danilov a déclaré qu’il n’y aurait plus de procès, mais “tirer pour tuer”.

En Ukraine, on agit désormais sur le principe : “la guerre va tout défaire”, donc, l’assassinat de Kireev marque le début d’une tuerie en chaîne de politiciens et d’hommes d’affaires, boucs émissaires des autorités sionistes de Kiev.

Vive la vérité.

Avec topwar.ru

5-La Chine prépare la guerre

La Chine annonce une hausse “officielle” de +7,1 % de ses dépenses militaires.

L’Alliance Iran Russie Chine effraie les Européens à tel point que les alignés sur les diktats des USA et les vassaux européens se bousculent pour faire exploser le triangle en pleine effervescence qui propose un nouvel ordre multilatéral bénéfique pour tous et il est clair que pour les atlantistes machiavéliques même un vote blanc chinois à l’ONU est considéré comme un signe positif sauf que la Chine de Laos Tze et de Confucius ne vient pas de sortir de l’œuf.

Opex se raconte des histoires en commençant par une diversion textuelle

À Pékin, un menu acheté dans un restaurant McDonald’s coûte 2,68 dollars. Soit un prix deux fois moins élevé qu’à Washington, où un billet de cinq dollars ne suffirait pas.

Aussi, établir un classement des pays en fonction du niveau de leurs dépenses militaires n’est pas pertinent. Ce qu’il faut regarder, ce sont les capacités qu’elles permettent d’acquérir, de conserver et d’améliorer. Et établir de telles comparaisons n’est pas forcément la tâche la plus aisée, au regard de l’ensemble des paramètres dont il faudrait tenir compte.

Ainsi, en 2021, le budget militaire chinois s’est élevé à 1355,34 milliards de yuans [officiellement, du moins, car ce montant serait sous-évalué d’une bonne cinquantaine de milliards de dollars, ndlr]. Soit près de quatre fois moins que celui du Pentagone [675 milliards d’euros, ndlr]. Cependant, malgré cet écart, constaté depuis plusieurs années, l’Armée populaire de libération [APL] se modernise à toute vitesse, en se dotant même de capacités que les forces américaines ne maîtrisent pas encore, notamment dans le domaine des armes hypersoniques.

Par exemple, l’an passé, la Chine a testé un planeur orbital hypersonique en reprenant le concept de “système de bombardement orbital fractionné”, qui avait été imaginé par l’Union soviétique durant la guerre froide, afin de prendre à revers les défenses aériennes des États-Unis. “Je ne sais pas si c’est exactement comme Sputnik, mais je pense que c’en est très proche”, avait alors commenté le général Mark Milley, le chef d’état-major interarmées américain, en faisant référence à la surprise suscitée par la première mise en orbite d’un satellite par les Soviétiques, en 1957.

Par ailleurs, lors d’une audition parlementaire, l’automne dernier, le chef d’état-major de la Marine nationale, l’amiral Pierre Vandier, avait souligné que la Chine mettait désormais à l’eau l’équivalent de la flotte française tous les trois ans. Qui plus est, la quantité rejoint la qualité.

À cet effort particulier, on peut aussi citer ceux faits dans les domaines de l’aéronautique, de l’espace, de la cyberdéfense, des capacités terrestres et des armes dites de rupture, comme les planeurs hypersoniques. En outre, la Chine semble aussi accroître significativement son arsenal nucléaire [+20 % en deux ans], ce qui s’accompagne de la construction de nouveaux sites de lancement pour des missiles balistiques stratégiques.

Avec une progression à deux chiffres jusqu’en 2015, les dépenses militaires chinoises ont doublé entre 2011 et 2021, après avoir marqué le pas en raison des conséquences économiques de la pandémie de covid-19. L’an passé, Pékin avant annoncé une hausse de +6,8 % de son budget militaire. Et, en 2022, ce dernier augmentera encore de +7,1 %, pour une croissance de son PIB estimée à +5,5 %. Il atteindra ainsi – officiellement – 210 milliards d’euros. C’est en effet ce qu’a annoncé, Li Keqiang, le Premier ministre chinois, ce 5 mars.

Ce nouvel effort budgétaire est motivé par au moins trois raisons, données par le Global Times, un quotidien proche du Parti communiste chinois [PCC]. En premier lieu, il s’agit de tenir la dragée haute aux forces américaines [et à leurs alliés], lesquelles ont multiplié les exercices dans la région Indo-Pacifique, et en particulier en mer de Chine méridionale, dont la quasi-totalité est revendiquée par Pékin.

Il y est question de Taïwan, considérée comme une province “rebelle” par les autorités chinoises. “La Chine reste le seul membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU qui n’a pas encore réalisé sa réunification nationale complète”, a fait valoir le Global Times.

À ce propos, M. Li a assuré que Pékin continuerait de promouvoir un “développement pacifique des relations de part et d’autre du détroit [de Taïwan]. Seulement, a-t-il ajouté, ‘nous nous opposons fermement à toute activité séparatiste visant à’ l’indépendance de Taïwan ‘et nous nous opposons fermement à toute ingérence étrangère’. Cette mention à ces ‘ingérences’ est, a priori, un fait nouveau.

Enfin, le Global Times a également cité la situation à la frontière avec l’Inde, laquelle a déjà dégénéré en affrontements entre soldats chinois et indiens par le passé.

Quoi qu’il en soit, cette nouvelle hausse du budget militaire chinois permettra de poursuivre la modernisation des capacités de l’APL avec ‘l’achat et la mise en service d’armes et d’équipements plus avancés, tant en termes de qualité et de quantité’ [le lancement d’un troisième porte-avions est attendu] et de renforcer la préparation opérationnelle de ses troupes.

Partager Cet Article
SOURCE: FRENCH PRESS TV