Najran, Jizan, Asir demandent un retour dans le giron "yéménite", puisqu'Ansarallah peut leur assurer la "sécurité!

Pluie de drones sur les villes du sud d'Arabie, Najran, Asir et Jizan où les tribus commencent à rejoindre les rangs d'Ansarallah depuis que ce dernier contrôle une grosse partie des monts d'al Balaq qui lui donnent la possibilité de viser avec plus d'aisance les positions saoudiennes qui s'accrochent toujours au site pétrolifère de Safer, point névralgique qui une fois passé sous contrôle d'Ansarallah changera de fond en comble la géométrie des forces en mer Rouge. A Maarib, les tribus du Sud d'Arabie ont pu voir l'émergence d'une puissance aérienne "classique" d'Ansarallah, car l'armée saoudienne et ses mercenaires sont désormais visés à coup de missiles air-sol titrés depuis les Mi-24. A Maarib toujours les missiles intercepteurs Fater 1 de la Résistance se sont montrés plus forts que les F-15 car ils verrouillent sur ces appareils, quitte à les faire descendre. Mais avant les F-15 ou les Eurofighter, ce sont des drones US qui n'osent plus faire leur apparition dans le ciel de Maarib, car ils sont chassés au quart de tour! L'Arabie des Salmane survivra-t-elle à la perte de Maarib?

Au Yémen, les forces de défense ont lancé d'intenses attaques contre plusieurs villes saoudiennes, en utilisant des missiles balistiques et des avions sans pilote. Dimanche, la chaîne de télévision arabophone iranienne Al-Alam citant des sources saoudiennes a rapporté que plusieurs explosions ont retenti dans les villes de Jizan et Khamis Mushait, situées dans le sud-ouest d'Arabie. Les vols ont été suspendus à l’aéroport de Jizan. Des sources d'information affiliées au royaume saoudien, quant à elles, ont prétendu que la défense aérienne du pays avait intercepté et détruit deux drones qui survolaient vers l'aéroport international d'Abha à Asir, une autre région du sud-ouest de l'Arabie saoudite.

Maarib: Ansaralla sort ses hélico!

Appel de cessez-le-feu US/GB/Riyad/Abou Dhabi à l

Pour la première fois, les combattants d’Ansarallah ont utilisé l’hélicoptère de combat Mi-24, lors de leurs combats contre les mercenaires à la solde de la coalition d’agression saoudienne sur le front de Maarib. La semaine dernière, des séquences vidéo sont apparues sur les réseaux sociaux, prises dans la région montagneuse de Jabal al-Balak al-Charqi, dominant la région d’al-Falaj dans le sud de la province de Maarib. Un hélicoptère volant à basse altitude tirait des missiles sur les positions de l’ennemi.

Selon certaines informations, l'apparition de l’hélicoptère Mi-24 a été un véritable choc pour les mercenaires, qui ne disposaient d'aucun équipement de défense aérienne, même pas de système de défense antiaérienne portable.

Il y a dix ans, l'armée de l'air gouvernementale yéménite comptait vingt-quatre Mi-24/35 et trente-quatre Mi-17. Auparavant, on croyait qu'ils étaient tous détruits sur terre.

Dans le même temps, il a été signalé que les combattants d’Ansarallah avaient réussi à cacher plusieurs unités de cet équipement aux frappes aériennes des forces de la coalition pro-saoudienne - des photos d'hélicoptères camouflés sont apparues, et certains experts ont supposé que tôt ou tard ces hélicoptères seraient impliqués dans les batailles.

Sur les réseaux sociaux, certains s'attende désormais à l'utilisation d'avions MiG-29 par Ansarallah. Sur le terrain, des fortifications des mercenaires pro-Hadi ont été détruites sur la zone d'al-Akd, et les combats se poursuivent sur les champs pétrolifères de Safar dans la zone de Wadi Ubaidah.

Redoutable arme d'Ansarallah?

Un autre drone de reconnaissance de la coalition d’agression saoudienne a été abattu dans le ciel de Chabwa, à l’est du Yémen.

Des sources yéménites ont rapporté que les mercenaires affiliés au régime de Riyad s’étaient divisés et qu’ils se trouvaient dans une situation précaire. La coalition saoudienne a annoncé dimanche avoir effectué 23 raids aériens au cours de la dernière journée tuant et blessant des dizaines de personnes. Des sources yéménites ont déclaré que les combats sévissaient à deux kilomètres au sud-est de Maarib.