Le F-35 britannique se serait écrasé lors d'une opération visant à intercepter le Su-30 russe.
Sohu, publication militaire chinoise, a affirmé, samedi 27 novembre, que le crash de l’avion de chasse britannique F-35 survenu en Méditerranée était dû aux tentatives du pilote pour intercepter un avion de chasse russe de type Sukhoi.
La tentative du pilote de chasse britannique F-35 d'intercepter un avion de chasse russe Su-30 s'est terminée par le crash de l’avion de cinquième génération en Méditerranée au large des côtes de Chypre et de l'Égypte, a indiqué Sohu.
En effet, l'avion de chasse britannique F-35 tentait très probablement d'affronter le Sukhoi-30 sur la base aérienne russe de Hmeimim en Syrie, soit pour contrôler la situation dans la région soit pour s'entraîner, a précisé Sohu en ajoutant que l’avion s’est écrasé probablement en raison d’un défaut technique survenu pendant le vol suite à une erreur commise par le pilote.
Plus tôt, le secrétaire d'État à la Défense Ben Wallace avait annoncé de manière inattendue les opérations menées par avions de chasse britanniques basés sur le porte-avions HMS Queen Elizabeth pour affronter des avions militaires russes.
L'absence de commentaire officiel de la part de Londres s’explique principalement par la crainte de la divulgation de l’inefficacité du F-35 suite à la publication des informations qui risquent de provoquer l’opinion publique britannique.
Sans entrer dans les détails, le ministère britannique de la Défense a fait état du lancement d’une enquête plus approfondie sur l'accident d'avion ; Sky News écartant toute possibilité qui laisse croire à une action hostile.
Peu de temps avant que Londres envisage de tripler la taille de sa base militaire à Oman, le ministre britannique de la Défense a déclaré que « l'amitié à long terme entre la Grande-Bretagne et les États du golfe Persique est plus importante que jamais ». Soulignant les intérêts communs en matière de défense et de sécurité, il a qualifié d’« essentiel », le travail conjoint avec les alliés arabes pour la « stabilité régionale et mondiale ».