Nous avons préparé des plans pour déjouer les menaces proférées par le régime israélien, a déclaré un responsable de la base Khatam al-Anbia.
Devant un groupe d’élite universitaire, un responsable de la base Khatam al-Anbia a déclaré : « Soutenu par les États-Unis et certains pays européens, le régime sioniste reste le premier à représenter une menace sérieuse pour la sécurité de l’Asie de l’Ouest. »
« Nous avons préparé des plans pour déjouer ces menaces. Aujourd’hui, nous avons accès à des informations à propos des centres délicats, des systèmes stratégiques et des sources des États-Unis liées à ce régime diabolique. Cela veut dire que nous avons une haute main stratégique à ce propos. »
Le haut responsable militaire a souligné que les forces armées de la République islamique d’Iran étaient en mesure d’imposer à l’ennemi des coûts lourds et irréparables.
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« La majeure partie des coûts financiers et humains ainsi que des échecs que les États-Unis ont subis dans la région, notamment pendant les deux dernières décennies, étaient dus à leur suivisme aux stratégies et au diktat du régime sioniste », a-t-il ajouté.
Il a prévu que les relations entre le régime sioniste et les États-Unis se transformeraient bientôt en un rapport perdant-perdant.
Lundi 27 septembre, des sources concordantes palestiniennes ont révélé des informations secrètes à propos du nouveau chef du Service de sécurité intérieure israélien (Shin Bet), en représailles à une attaque des Israéliens contre Cisjordanie.
Une source bien informée chez la Résistance palestinienne a révélé à l’agence de presse palestinienne « Palestine Now » des informations exclusives sur le nouveau chef du Shin Bet, dont l’identité avait été cachée par les autorités de l’occupation israélienne.
Ronen Berezovsky dont l’ennemi a gardé l’identité secrète et l’a entourée d’un mur d’invisibilité et d’ambiguïté est le chef de missions dangereuses et spéciales, a déclaré la source palestinienne.
« Il est surveillé par nous chez la Résistance. Il est sur la liste des personnes recherchées et les combattants de la Résistance le poursuivront », a-t-elle ajouté.
« Ronen Berezovsky est né le 24 décembre 1965. Il habite rue Agnon dans le quartier Hod Hasharon, et son numéro de maison est le 6 », précise aussi l’agence palestinienne.
Le Premier ministre israélien Naftali Bennett avait annoncé la nomination de R. au poste de chef du service de sécurité du Shin Bet, pour succéder à Nadav Argaman. Les médias d’occupation n’ont pas mentionné son nom et les informations se sont limitées à une lettre de son prénom.
Ces révélations interviennent suite à l’escalade de violence en Cisjordanie où les militaires israéliens s’en sont pris au camp de Jénine ; des membres du Hamas ont été tués lors de cet assaut.
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Selon des rapports, le nouveau chef du Shin Bet a passé son service à l’unité des élites des forces de combat du régime israélien. Il a ensuite rejoint le service de sécurité intérieure où il a été nommé commandant de l’unité des opérations en 2011 avant d’y assumer le poste du vice-président en 2018.
L'information tombe alors que dans la nuit de 11 à 12 septembre, à peine deux jours après une tonitruante frappe du CGRI contre le QG des agents kurdes du Mossad à Chouman, dans le nord kurde de l’Irak, Erbil a une fois de plus tremblé.
Et pourtant l’opération du jeudi soir du CGRI contre la localité de Chouman que le couple CIA/Mossad a sans nul doute suivi depuis ses salles d’opération à Harir, la super base US/Israël à Erbil aurait dû bien les avertir.
À quelques heures de l’arrivée ce dimanche du PM irakien en Iran, la Résistance irakienne a frappé la base américaine à Erbil, Harir à coup d’essaim de drones.
Le service de sécurité intérieure de la région du Kurdistan irakien, a initialement déclaré que « trois roquettes » avaient frappé de l’aéroport d’Erbil avant d’émettre un second communiqué où il s’est corrigé en soulignant que l’attaque avait été menée par des drones chargés d’explosifs.
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Ce QG de la CIA visé est situé dans la partie la mieux protégée de Harir, elle-même l’une des bases US les mieux barricadées de la région.
Quant à l’opération elle-même, elle a été d’une complexité inouïe dans la mesure où les radars de la DCA sur place ont pu intercepter le drone alors qu’il se trouvait à 10 milles de la base, mais l’engin est disparu soudain des écrans radars, ayant changé de trajet et s’étant perdu parmi les vols civils. Ce genre d’opération demande une équipe et des équipements spécialisés dans la guerre électronique.