Alors même que Bagdad accueille un "mini" sommet régional qui selon des analystes ressemblent fort à un coup de pub signé le PM Kazemi à l'approche des législatives avec surtout la présence peur compréhensible d'un Emmanuel Macron qui a affirmé dans son discours " vouloir offrir un avenir radieux aux jeunes du Moyen Orient" et surtout en l’absence d'un président Assad, champion de la lutte anti terroriste que Bagdad n'a osé convier par crainte de froisser les Américains, une très rapides évolutions sur le terrain confirment les craintes du Pentagone : l'Irak n'est plus viable!
A vrai dire ce débâcle, date du mois d'avril, quand les premiers raids aux drones irakiens ont visé les trois bases aériennes d'Ain al-Asad, de Harir et de Balad ou Victory et que aux tirs de roquettes bien "précis" sont venus s'ajouter ces drones-choc de type souvent Ababil qui d'attaques anti US en attaque anti-Us ont bien montré de quel bois ils sont faits et comment, perçant, une épaisse couche faite de radars, de satellites, ils parviennent à frapper là où il faut, un petit QG secret de la CIA perdu quelque part dans une base de plusieurs centaines kilomètres de carrés, un petit hangar des drones MC-9 "caché" ou pire des avions C-130, des avions de reconnaissance et on en passe.
Ababil-3 irakien avec sa portée de 150 kilomètres et en deux versions combat et reconnaissance est capable d'embarquer par exemple diverses charges électro-optiques ou explosives et transmettre en même temps des donnés en ligne sur sa cible. Les derniers frappes aux drones irakiens ciblant le campement US/Israël à Erbil a même éveillé la crainte que la Résistance irakienne finisse par utiliser les "bombes intelligentes" contre l'occupation genre "Hellfire iranien ou Qaem. Puis le 29 juillet quand la Résistance a dévoilé ses drones à sens uniques ou comme le reconnaissait à l'époque The Drive "sorte de missile de croisière mais aussi de reconnaissance car doté de IA et capable d'espionner jusqu'à la dernière minute la cible avant de s'abattre à base des données préenregistrés sur elle, et bien la crainte US s'est intensifié. En effet, le grand convoi logistique Bassora-Al Anbar employait pour la première fois une entreprise US, chose que les Américains ne font plus depuis deux ans. Au fait les entrepreneurs irakiens auxquels l'US Army fait appel sont une garantie de sécurité, les Yankee sachant que la Résistance irakienne ne ciblent jamais ses compatriotes.
Aussi le convoi américain, transportant du matériel et des véhicules militaires, a été durant tout son trajet escorté par des hélicoptères et des drones américains jusqu'à ce qu'il atteigne sa destination à al-Anbar. Mais Il a fallu deux jours pour comprendre ce samedi 18 août le pourquoi de cette panique américaine et de ce déplacement vers al Anbar.
La source a également noté que la frappe aux roquettes avait infligé des pertes matérielles à la base américaine. « L’une des quatre roquettes avait traversé le port et atterri à l'intérieur du territoire koweïtien », ajoute la même source. A quoi cette première attaque qui tend à déborder les frontières irakiennes le jour où le président français, le président égyptien et surtout le roi jordanien sont de passage à Bagdad? C'est simple, cela veut dire que les USA et leurs troupes d'occupations sont traqués désormais au-delà des frontières et qu'il se peut qu'elles soient visées à la source, si les pays qui accueillent les bases US se mettent à faciliter la présence américaine en Irak, à aider à sa perduration, voire même s'ils servent d'arrière cours aux frappes anti Résistance.
Aussi Macron qui dit venir en Irak pour "offrir un avenir radieux aux jeunes du Moyen Orient" , avenir dont il a privé les jeunes français et dont ses conseillers lui ont soufflé sans doute à tort cette très mauvaise comparaison comme quoi le Moyen Orient tout comme le Sahel affecte directement la sécurité en France et que par la les forces françaises sont autorisées à y opérer comme elles opèrent au Sahel, ou en,core le roi Abdellah qui a tout simplement loué le nord de son pays et ses 14 bases aériennes à l'US Ai Force pour que celle ci, chassée littéralement du ciel irakien, ait quelques parts à poursuivre ses opérations contre la Résistance, prennent garde , le criminel de guerre "soldat Ryan" est pourchassé et ceux qui le mettent à l'abri ou qui lui sert comme Macron de bouclier et de boite à outil de diversion ne sont pas non plus préservés.