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Les GI’s traqués en plein désert d’al-Anbar

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Un convoi américain a été attaqué à Saqlawiyah, en Irak, le 16 juin 2021. (Photo d'archives)

En Irak, un convoi américain a été attaqué à Saqlawiyah, une ville de la province d’al-Anbar. 

Ce mercredi 16 juin, un convoi logistique de l’armée américaine a été visé par une bombe de type EFP qui avait été déposée au bord d’une route à Saqlawiyah. Deux véhicules militaires ont été endommagés. À noter que le convoi se dirigeait vers la base militaire d’Aïn al-Assad. 

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Après que les Américains ont décidé de ne pas respecter la loi, adoptée en janvier 2020 par le Parlement d’Irak sur l’expulsion des forces étrangères, les groupes de Résistance irakiens ont annoncé que les forces US seraient désormais dans leur ligne de mire. 

Hier mardi, un autre convoi américain a été pris pour cible à l’intérieur du secteur militaire de l’aéroport international de Bagdad où sont déployés des groupes de GI’s. Le même jour, un autre convoi logistique américain a été attaqué à al-Latifa, situé au sud de Bagdad. 

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Il y a quelques jours, quatre convois américains ont été frappés à Hilla, à Nassiriya, à Samawa et à Diwaniya. 

Sur le plan énergétique, le géant russe Rosatom projette d’établir une coopération sur l’énergie nucléaire avec la partie irakienne. 

Citée par l’agence de presse TAAS, la compagnie russe Rosatom a assuré, mardi 15 juin, de son côté, discuter avec l’Irak de l’ensemble de l’agenda d’une éventuelle coopération sur les applications énergétiques et non énergétiques des technologies nucléaires à des fins pacifiques.

L’Irak, qui souffre de pénurie d’électricité, entend construire d’ici 2030 huit réacteurs nucléaires d’une capacité de 8000 mégawatts, de quoi assurer 25% de ses besoins.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV