Lors de la réunion des pays membres de l’accord sur le nucléaire iranien organisée vendredi par l’Union européenne, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a souligné la position iranienne selon laquelle aucune négociation n’est nécessaire pour un retour de Washington à l’accord sur le nucléaire.
Araqchi a désigné la levée des sanctions américaines comme la première étape pour la relance du PGAC. Selon lui, la République islamique mettra fin aux « mesures nucléaires compensatoires » dès qu’elle vérifiera que les sanctions sont levées.
Comment peut-on analyser les résultats de cette réunion ?
L’UE serait-elle prête à convaincre les États-Unis de revenir à l’accord sans condition préalable ?
Analyse avec Fabrice Beaur, expert auprès de l’ONG EODE.