Dans un tweet après la signature de l’accord, l’ambassadeur de Chine à Téhéran, Chang Hua, a qualifié l’Iran et la Chine de « partenaires stratégiques », saluant la visite du haut diplomate chinois et affirmant que les relations entre les pays étaient fondées sur « l’amitié et coopération. »
Réagissant également à cette information, le membre du Conseil politique suprême, Muhammad Ali Al-Houthi a déclaré que l’accord marquait « la défaite politique des États-Unis » et la frustration des sanctions de Washington.
Comment peut-on analyser la réaction yéménite ?
Arnaud Develay, juriste international s’exprime sur le sujet.