A peine 48 heures après cette première opération balistique "hybride" que la Résistance yéménite a qualifie de "dissuasion 5" et qui a visé cinq menée tour à tour contre Riyad, et les aéroports militaires d'Abha et de Khamis Mushait, en faisant un mixte inoui "missiles de croisière -missile balistique", lequel mixte a impliqué, un missile Zelzal, neuf drones Samad 3 et six drones Qassef K2, une nouvelle frappe a visé Jizan. Il semblerait qu'un effet de balancoire tend à s'établir entre ces deux fronts, Jizan et Maarib, l'un et l'autre d'une importance primordiale pour l'axe de la Résistance. La prise de Maarib, cette "Alep" yéménite n'ira donc veut bien plus d'efforts surtout que le camp US/OTAN a bien compris que sa vrai-fausse offre de cessation des hostilités ne trompe personne et que partout au Moyen Orient, la Résistance exige des "preuves concrêtes de bonne fois de l'adversaire" avant de faire taire ses armes. A Maarib où 85% des territoires sont déjà sous contrôle d'Ansarallah et où désortmais les drones yéménites répondent aux raids aériens de la "coalition", la Résistance semble vouloir donner du temps au temps, puisque la dynamique de la libération est déjà déclenchée, les tribus alliées de Riyad faisant défection les uns après les autres.
D'où sans doute ce regain de combat sur le front startégique de Jizan, port pétrolier du sud ouest de l'Arabie saoudite que la Résistance vient de viser dans la nuit de lundi à mardi par un missile balistique. Dans la nuit de lundi à mardi, soit 48 heures après que les Patriot américain ont à nouveau trahi le trône des Salmane, en se laissant percer par les engins yéménites et en provoquant une paralysie aérienne dans le ciel saoudioen et ce, jusqu'à Riyad, la capitale,, Jizan dans le sud saoudien, a été ciblé et des explosions y ont été entendues. Le QG de la coalition a aussitôt reconnu l'attaque par crainte d'avoir à faire face comme pour l'opértaion hybride d'il y a deux jours à un flot d'images et de vidéos diffusés sur les reseaux sociéux et conterdisnat sa version , tout en prétendant que la DCA saoudienne aurait réussi à "neutraliser" cette frappe au missilme qui "aurait fait 5 blessés". Pour l'heure Ansarallah n'a rien revendiqué mais il est difficile de croire la DCA saoudienne avoir été capable d'intercepter un missile balistqiue genre Zofaqar dans le ciel du sud du royame où Ansarallah a fait de solides avancées alors même que ce même Zolfagar a réussi à traverser plusiuers couches de défense aériennes pour atteindre Riyad.
Toujours est-il que ce déplacement du front de Maarib à Jizan, au moins momentaménement a une signification : la Résistance cherche à atteindre directement les capacités portuaires saoudiennes. En effet, une reprise du contrôle de Maarib, province stratégique, couperait de facto la voie terrestre reliant l'Arabie saoudiote au sud du Yémen, préparant ainsi à ce que la Résistance avance organiquement dans le sud saoudien. Les combattants d'Ansarallah se trouvent d'ailleurs à quelques 35 kilomètres des frontières de cette province et ils contrôlent déjà à moitié la route startégique Al Baqa -Al Hazam qui donne directement sur Jizan. Par un effet de balançoir donc, Ansarallah desserre l'étau à Maarib pour le resserer à Jizan car une prise parallèle de Maarib et de Jizan, respectivement cité pétrolier et port pétrolier marquera un tournat dans les équations énergétiques de la région.
Partant de cette logique, Ansarallah vient de lancer une sévère mise en garde à l'Arabie saoudite et à ses alliés américains et britanniques comme quoi "tout raid visant le méga champ pétrolier maaribien de Safer que la colaition pourrait bombarder avant de se rendre, suivant cette logique trop US/OTAN qu'est la politique de la terre brûlée, reviendrait automatiquement à provoquer des frappes au missile contre les sites d'Aramco. " Les insallations pétrolières de Safer sont notre ligne rouge. Si les chasseurs saoudiens, émiratis ou occidentaux les prennent pour cible, et bien ce sera Aramco qui va en payer le prix et on sait à quel point ", affirme le journal Al Akhbar citant les sources proches d'Ansarallah.
La dissuasion 4 consitait à frapper les aéroports militaires en réponse aux raids saoudiens visant les villes yéménites. la dissuasion 5, elle, réside à frapper Aramco si les installations pétrolières de Maarib sont frappées. Cela veut dire que cette nouvelle étape verra non plus les nuées de drones et de missiles d'Ansarallah s'abattre comme en 2019 sur les réservoires des raffineries d'Abqaiq ou de Kharis, mais sur des cibles bien plus multiples et bien plus étendus. Cette mise en garde d'Ansarallah a faitr réagir une Amérique qui a très compris que le "ruse démocrate" ne pourra leurrer les fins stratèges que sont les combattants d'Ansarallah. Ce mardi la Maison blanche menace, sans crainte du ridicile, Sanaa et Ansarallah en affirmant qu'elle pourrait reprendre la coopération "militaire" avec Riyad! Cela changera-il quoi qu'il en soit à la donne? pas vraiment.
Selon des sources bien informées, le Pentagone aurait d'ors et déjà le dossier de Maarib aux Britanniques et la Royaal Army en est à l'heure qu'il est à recruter davanatge de terroristes de Daech et d'al-Qaïda pour retarder la chute de la ville et trainer les combats en longueur. La chaîne Al-Masirah s’est penchée dans un rapport, sur les agissements de la Grande-Bretagne destinés à mobiliser les terroristes pour la bataille de Maarib : « La guerre à Maarib a poussé Londres et Washington à utiliser tous leurs outils à faire bouger leurs pions », souligne le rapport d’Al-Masirah.
La présence de Daech sur le front de Maarib et l'offensive militaire dans le sud-ouest de la ville ont surpris tous les observateurs qui suivent les liens entre le Parti al-Islah, al-Qaïda et Daech; Maarib ayant été au cours de ces dernières années, le bastion d’al-Qaïda et d’al-Islah sur fond d'hostilités opposant Al-Qaïda à Daech, non seulement au Yémen mais partout dans la péninsule arabique. De quoi est signe leur réconciliation face à Ansarallah? La réconciliation entre deux ennemis jurés que sont al-Qaïda et Daech résulte de la remise de l’affaire de Maarib aux Britanniques, en général plus rusés pour manipler et réunir les pôles opposés autour de la même table. L'axe US/GB est terrorisé à l'idée de perdre Maarib, un vrai un tremblement de terre géostratégique pour la coalition américaine dans la région et dont les impacts mettront le régime sioniste dans une situation critique, d’autant plus que Sanaa fait partie de l’axe de la Résistance.", dit la chaine qui ajoute :
" Mais la Résistance yéménite a une vision géostartégique de la gurere, ce qui fait automatiquement échec aux visées US/GB. Elle sait que les fréristes (parti al Islah) est au bout à Maarib et que la chute de la ville, meme sans grand combat est une affaire de jour. Maarib est Alep du Yémen et sa libération fournira de quoi mettre sens dessus dessous les calcules startégiques de l'Empire en mer Rouge. Certains milieux estiment même que les explsions ayant visé le cargo israélien en mer Rouge pourrait n'être qu'un prélude à ce qui en sera dans les semaines à venir. En démembrant le Yémen en Nord et en Sud et en occupant Socotra et Mion l'axe US/OTAN/Israël croyait pouvoir couper les routes de l'énergie à la Résistance. ce qui se passe parallèlement en mer Rouge, en mer d'Oman, à Maarib et à Jizan prouvent le contraire. Ce n'est pas sans raison si la Russie a choisi d'envoyer son navire au Port-Soudan alors même que Maarib est sur le point de tomber".