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Moscou met un terme aux rumeurs israélo-turques

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les chiens aboient et les amis se serrent la main. ©Farsnews

Tout en démentant toute divergence entre la Russie et la Syrie, l'ambassadeur de Russie en Syrie a souligné que les ennemis ont échoué dans leurs tentatives et utilisent tous les moyens dont ils disposent pour semer la discorde entre ces deux pays.

 « Les rumeurs qui circulent actuellement sur les divergences entre Moscou et Damas sont sans fondement », a déclaré Yefimov au quotidien syrien al-Watan.

« Ceux qui insistent sur une lecture erronée de la coopération entre Moscou et Damas lancent des campagnes médiatiques hostiles à Assad/Poutine », a-t-il ajouté.

« Les ennemis de la Syrie et de la Russie exercent des pressions politiques sur Damas après avoir échoué à atteindre leurs objectifs néfastes par des moyens militaires et tentent, actuellement, de détruire la Syrie par des sanctions économiques sans précédent », a précisé le diplomate russe.

« Ils (les ennemis de la Syrie) ont échoué, c'est pourquoi ils ont mobilisé tous leurs moyens pour créer des divisions entre la Russie et la Syrie avec pour but de leurs relations », a-t-il poursuivi.

"Ces tentatives sont vouées à l’échec. Ils seront impuissants d'atteindre leurs objectifs. Leurs tentatives reflètent bien ce fameux proverbe qui dit les chiens aboient, la caravane passe », a-t-il souligné.

« Les relations actuelles de la Russie avec la Syrie sont plus solides que jamais. Elles sont amicales et stratégiques, et visent à atteindre des objectifs communs dans l'intérêt des peuples russe et syrien », a-t-il fait remarquer.

«  Idlib n'est pas le dernier refuge d'une opposition modérée, mais le siège des terroristes et des criminels dont la présence n'est pas acceptable pour nous », a-t-il assuré.

« Le cessez-le-feu à Idlib ne met forcément pas fin à la nécessité de poursuivre la lutte contre le terrorisme pour que le pouvoir syrien puisse asseoir sa souveraineté sur l'ensemble du territoire du pays », a-t-il conclu.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV