Les analyses de la rédaction :
Alors que les agences de presse nord-africaines font état de la visite d’un groupe de 70 Israéliens au Maroc où le roi aurait même donné un dîner en leur faveur, Israéliens visiblement détenteurs de passeports marocains et donc parfaitement en mesure de se rendre en « mission » en Algérie, un média mainstream vient d’être piètrement chassé d’Algérie. Et pas des moindres. Il s’agit d’un des principaux pôles de désinformation et de manipulation de masse, l’AFP. Le média français vient ainsi rejoindre Reuters, autre agence de désinformation, liée cette fois au gouvernement britannique. Ceux des analystes qui suivent la couverture médiatique offerte par l’AFP de ces sept dernières semaines de manifestations en Algérie ne peuvent s’empêcher d’y voir un mélange de mauvaise foi, d’insinuations et de culte de l’infox.
La dépendance totale de l’Agence France Presse (AFP) à des centres d’intérêt occultes liés à la Banque Rothschild voire à des loges maçonniques ont été largement évoqués cette semaine dans les médias algériens.
« L’AFP touche actuellement 105 millions d’euros de l’État », indiquent ces mêmes sources qui ajoutent que « sur dix-huit membres du conseil d’administration de l’AFP, cinq sont des membres du gouvernement français ».
L’AFP est donc le porte-voix d’une Macronie qui, en dépit d’une apparente compassion à l’endroit du peuple et de l’État algériens, semble tirer un infini plaisir à voir la fière Algérie entrer dans une zone de turbulence.
L’agence de presse gouvernementale française accompagne la politique étrangère interventionniste et belliciste du Quai d’Orsay, auquel elle sert d’instrument de propagande. C’est ainsi que cette agence a participé à l’exacerbation du « printemps arabe » et à l’éclatement des guerres civiles en Syrie et en Libye, où la France joue un rôle néfaste, allant jusqu’à financer des groupes armés.
C’est sans doute dans ce même sens qu’il convient d’interpréter le sévère avertissement du chef d’état-major de l’ANP. Le général a accusé la France de chercher à attenter à la sécurité de l’Algérie en profitant des manifestations pour semer la discorde entre les Algériens. Ahmed Gaïd-Salah n’a pas cité la France nommément, mais il y a fait une allusion directe en pointant un « pays étranger qui a des liens historiques avec l’Algérie ».
Tout le monde a compris qu’il s’agissait de l’axe Élysee-Quai d’Orsay, qui agit parfaitement dans le sens d’un plan concocté à Tel-Aviv et à Washington. Un plan qui vise à capitaliser sur les revendications populaires afin de déstabiliser l’État. Cette première mise en garde, la France a intérêt à en tenir compte, tout comme Israël, dont les tentacules médiatiques françaises (AFP) viennent d’être coupés.
Un haut responsable du géant chinois Huawei a discuté avec le président tunisien des moyens de renforcer la coopération dans le domaine de la transformation digitale de l’économie et de la formation, selon un communiqué de la présidence. Huawei envisage également de s’appuyer sur cette coopération pour conquérir d’autres marchés africains.
Une délégation du géant chinois Huawei conduite par Xue Man, vice-président des relations publiques de la société, a été reçue par le président Beji Caïd Essebsi, selon un communiqué de la présidence de la République tunisienne. Les discussions entre les deux parties portaient sur les moyens nécessaires pour engager une transformation numérique de l’économie tunisienne, mais aussi de la formation des cadres et des nouveaux talents dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC), afin de conquérir de nouveaux marchés africains.
Récemment, c’est un groupe de 70 Israéliens qui ont effectué un séjour de plusieurs à Marrakech, encadrés par plusieurs rabbins. Selon les médias israéliens, ce groupe de touristes s’est rendu dans l’une des grandes synagogues de Marrakech où il était installé. Il a même eu droit, selon les mêmes sources, à un service de sécurité spécial sur l’ordre du roi Mohammed VI. Et, pour finir, à un dîner offert en leur honneur par le souverain marocain. Ce genre de visites est très mal vu au Maroc par les militants anti-normalisation avec Israël et notamment par les franges nationalistes et les membres de BDS comme Sion Assidon.
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