L’unité balistique de l’armée et des Comités populaires du Yémen a lancé, le samedi 24 novembre, trois missiles balistiques de type Zelzal-1 contre les bastions des mercenaires pro-Riyad à Jizan, dans le sud-ouest de l'Arabie saoudite.
Les forces yéménites ont également tiré, le jeudi 22 novembre, cinq missiles balistiques de longue portée Zelzal-1 en direction des positions des mercenaires à la solde du régime de Riyad situées à une petite distance du point de passage d’Aleb dans le Sud saoudien.
Dans la foulée, le président du Comité révolutionnaire suprême du Yémen, Mohammed Ali al-Houthi a déclaré que l’armée était prête à mettre fin à toutes ses opérations militaires y compris les attaques par missiles et drones pour soutenir les efforts de l’émissaire de l’ONU pour le Yémen, Martin Griffiths et ne plus laisser de prétexte à la coalition saoudienne.
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Le Yémen a fait usage de missiles balistiques et de drones pour dissuader l’ennemi et se défendre face aux crimes de la coalition d'agression saoudo-émiratie.
Grâce au savoir-faire de ses scientifiques, l’unité balistique yéménite a pu moderniser ses systèmes de missiles au cours des années d'agression de la coalition pro-Riyad. Par conséquent, malgré le blocus imposé par le régime saoudien et ses alliés contre ce pays la puissance balistique des forces yéménites se renforce de jour en jour.
Opérations des agresseurs repoussées
Les mercenaires saoudiens ont mené deux opérations à Najran près des zones frontalières entre l'Arabie saoudite et le Yémen, opérations qui ont été désamorcées suite à l'intervention de l’armée et Ansarallah. Plusieurs forces de l’ennemi ont été tués ou blessés, a-t-on appris de la chaîne d’information yéménite Al-Masirah citant une source militaire sur le terrain.
