Le Pentagone a annoncé, jeudi 3 mai, avoir recensé 5 000 soldats américains opérant en Syrie et en Irak.
La porte-parole du Pentagone Dana White a déclaré que 5 000 soldats américains étaient en mission en Syrie et en Irak.
Il est à rappeler que les États-Unis avaient déployé des forces militaires en Syrie, sous prétexte de la lutte contre le groupe terroriste Daech, sans l’autorisation du gouvernement syrien.
Le même jour, The New York Times a révélé que les forces spéciales américaines aident l’Arabie saoudite à frapper les réserves balistiques du Yémen. Le Pentagone et l’administration Trump ont apparemment induit l'opinion publique en erreur sur leur implication militaire dans la guerre au Yémen.
Par ailleurs, une source proche des services secrets syriens a annoncé que les services secrets américains préparaient une nouvelle mise en scène pour accuser le gouvernement de Damas d'utiliser l’arme chimique dans la province de Deir ez-Zor.
Auparavant, les États-Unis et leurs alliés occidentaux ont accusé Damas d’avoir utilisé des substances chimiques à Douma dans la Ghouta orientale. Dans la nuit du 13 au 14 avril, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont lancé des frappes contre des sites syriens.