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Palestine occupée: Dimona touchée par une grève

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Vue partielle de la centrale nucléaire de Dimona, dans le Néguev, au sud d'Israël, le 8 septembre 2002. ©AFP

Depuis trois mois, les employés et les scientifiques de la centrale nucléaire de Dimona à Néguev en Palestine occupée observent une grève en vue de réclamer de meilleures conditions salariales.

En réaction à ce mouvement de grève, le cabinent du régime israélien a approuvé dimanche 13 août des mesures d’urgence.

Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé dans un communiqué que le cabinet avait ratifié la demande de la Commission de « l'énergie atomique israélienne » d’appliquer des mesures d'urgence permettant de contraindre les employés à relancer le travail.

"Les perturbations survenues entravent la prise de mesures par Israël et l’ordre de la poursuite du travail répond aux répercussions de l'arrêt de la production de la centrale", lit-on dans le communiqué.

Selon l'Institut pour la science et la sécurité internationale des États-Unis, Israël possédait 115 bombes nucléaires en 2015.

La centrale atomique de Dimona, dans le désert du Néguev, au sud de la Palestine occupée, est un centre où les bombes atomiques du régime israélien sont fabriquées et stockées.

Selon une autre dépêche en provenance d’Israël, le site web libanais Al Ahed a rapporté qu’un "gigantesque" incendie avait ravagé l’une des raffineries de pétrole à Ashdod, en Palestine occupée.

Aucun détail supplémentaire n’a filtré jusqu’à présent sur les causes de l'incident.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV