Dans un virage de 180 degrés, le Premier ministre israélien affirme qu’il s’oppose farouchement à la trêve conclue entre la Russie et les États-Unis dans le sud de la Syrie.
« Tel-Aviv n’accepte pas la trêve russo-américaine dans le sud de la Syrie, car cette trêve contribue à renforcer l’Iran », a prétendu Benjamin Netanyahu dimanche cité par le journal Haaretz.
D’un autre côté, des unités de l’armée russe s’apprêtent à s’installer, dans les prochains jours, dans la ville syrienne de Quneitra et à prendre position juste en face de la frontière syro-israélienne du Golan. Leur fonction est de contrôler le respect de la trêve dans la deuxième zone de désescalade au sud-ouest de la Syrie.
Ayssar Midani, analyste franco-syrienne des questions internationales, nous donne plus de détails.