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« Les USA n’osent faire intervenir nulle part leur armée de terre » (CGRI)

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le commandant en chef adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général Hossein Salami, a participé, ce mercredi 5 juillet, à la cérémonie d’ouverture d’une base aérienne du CGRI dans la province de Fars. ©ABNA

« Tout pays qui accepte de rester faible dans le monde est voué à l’échec », a affirmé le commandant en chef adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique d’Iran (CGRI).

Selon l’agence de presse Tasnim, le général Hossein Salami a participé ce mercredi 5 juillet à la cérémonie d’ouverture de la base aérienne de Seyyed-o-Shohada dans la province de Fars, dans le Sud-Ouest iranien.

Le commandant en chef adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général Hossein Salami, a affirmé que grâce à Dieu, la force terrestre du CGRI est devenue aujourd’hui le pilier solide sur lequel repose la sécurité nationale du pays face aux menaces étrangères et aux dangers intérieurs :

« Sans effort et dévouement, sans se lancer dans le Jihad Akbar [le plus grand Jihad], sans acquérir le pouvoir et l’étendre sur la terre, il est impossible d’affronter les ennemis rancuniers. Cette résistance, ce calme, cette sécurité, cette autorité et cette grandeur montrent qu’il y a des personnes dévouées qui se soucient du progrès et de la sécurité de toute une nation ; et c’est la nature même du CGRI et des forces armées. »

Le général Salami a fait aussi allusion au bilan impressionnant du Corps des gardiens de la Révolution islamique.

« Ce qu’ont réussi à faire les forces du CGRI à Qasr-e Qand [dans la province du Sistan-et-Baloutchistan], dans la province du Kurdistan et au Parlement iranien, vous ne le verrez nulle part au monde. Malgré toutes leurs fanfaronnades, les États-Unis n’osent pas faire intervenir directement leur armée de terre où que ce soit et restent donc marginalisés », a affirmé le général Salami, ajoutant qu’en ce qui concerne les évolutions essentielles sur le terrain, c’est la force terrestre qui dit le dernier mot.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV