Alors que la guerre à la bande de Gaza entre dans son 3e mois, les sionistes s’échinent à présenter leur demande de réfugiés aux divers pays notamment les pays européens.
Ils cherchent à acheter des propriétés en l’Europe. Selon l’Office de l’Immigration et de l’Intégration du régime israélien, à proximité 370 000 sionistes ont quitté les territoires occupés du 7 octobre au 30 novembre.
Le journal Times of Israël a rapporté que si on diminuait le nombre des sionistes venus en Israël après la guerre de celui qui l'avait quitté sans revenir, on arrive au chiffre 500 000, signe d’une immigration inverse.
Le quotidien israélien Marker, quant à lui, a entretenu avec des émigrants. Julie, une femme de 34 ans, en fait partie. Elle s’enfuit d’Ashkelon au Portugal. Julie raconte : « Je suis immigrée avec mon père de la France à Ashkelon. La zone qui est, depuis, sous le coup de feu du Hamas. Je m’étais enfuie plusieurs fois d’Ashkelon, mais j’y gagnais de nouveau. La différence, c’est que, cette fois, je pars pour toujours. »
Les Israéliens qui se sont enfuis en octobre dernier examinent la possibilité d’acheter des propriétés en Grèce, à Chypre et au Portugal non pour un investissement, mais pour y obtenir la citoyenneté.
Toujours selon Marker, nombre d’Israéliens ont quitté les territoires occupés soit à court terme soit pour longtemps.
La chaîne 12 de la télévision israélienne a fait état qu’après le déclenchement de la guerre, le 7 octobre, nombre d’Israéliens ont présenté leur demande de réfugiés au Portugal.
