Les titres de la rédaction :
Les analyses de la rédaction :
1. Sommet Saoudo-africain : les participants soulignent l’urgence de mettre un terme aux attaques israéliennes à Gaza
Les dirigeants africains et saoudiens réunis dans le cadre du Sommet saoudo-africain, tenu vendredi à Riyad capitale de l’Arabie saoudite, « se sont déclarés satisfaits de l’ambiance de dialogue fructueux qui a prévalu lors du sommet et du consensus atteint en termes de vues et de visions et pour avancer sur un certain nombre de questions régionales et internationales actuelles », selon une déclaration finale relayée par l’Agence de presse saoudienne (SPA).
Les dirigeants africains ont salué l’initiative de Riyad pour le développement en Afrique 2023-2033 d’un montant de 4 milliards de riyals saoudiens, plus d’un milliard de dollars américains) pour une période de dix ans.
Une initiative qui « contribuera, certes, à faire avancer le processus de développement sur le continent africain, en plus des projets qui y seront mis en œuvre coûtant environ 3,2 milliards de dollars, y compris des programmes de développement du secteur agricole et du secteur de l’éducation et de promouvoir la santé publique, les secours et l’action humanitaire de plus de 2 milliards de dollars », poursuit la même source.
Revenant sur l’évolution de la situation en Palestine, les participants ont « exprimé leur profonde préoccupation face à la catastrophe humaine à Gaza, et ont souligné la nécessité d’arrêter l’invasion militaire israélienne dans les territoires palestiniens et la nécessité de protéger les civils conformément au droit international et au droit international humanitaire », poursuit la déclaration de Riyad.
« Ils ont également mis l’accent sur l’importance du rôle que la communauté internationale doit jouer pour faire pression sur la partie israélienne afin qu’elle mette fin aux attaques israéliennes et au déplacement forcé des Palestiniens de la bande de Gaza, ce qui constitue une violation flagrante du droit humanitaire international et du droit international ».
2. G. Soro dans l’AES : Abidjan doit paniquer ?
C’est un communiqué de Génération peuples solidaires (GPS) qui le dit. Après le Mali, l’ancien président de l’Assemblée nationale et ex-Premier ministre de la Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, séjourne depuis le 11 novembre dernier, à Niamey au Niger. Mieux, le même communiqué précise qu’il a été reçu par le président de la Transition, Général nigérien en chef, Aboudourahamane Tchiani. On peut donc le deviner aisément. Guillaume Soro était en terre africaine lorsqu’il annonçait, à travers les réseaux sociaux, qu’il mettait un terme à son exil en retournant au bercail. Certes, la rumeur le disait proche des autorités de Bamako qui, dit-on, lui auraient délivré un passeport diplomatique. Mais on ne le savait pas dans les bonnes grâces des tombeurs de Mohamed Bazoum au point de se voir dérouler le tapis rouge. Et ce n’est pas tout. Guillaume Soro, si l’on en croit certaines sources, est aussi annoncé dans les jours à venir à Ouagadougou au Burkina Faso où, dit-on, il devrait prendre ses quartiers.
Tout se passe, en effet, comme si l’Alliance des États du Sahel (AES) avait décidé d’offrir le gîte et le couvert à l’Ivoirien Guillaume Soro condamné à de lourdes peines d’emprisonnement par la Justice de son pays. Toute chose qui pourrait contribuer à détériorer davantage les relations entre la Côte d’Ivoire et les pays de l’AES que sont le Burkina Faso, le Niger et le Mali en pleines transitions. Et compromettre l’élan de solidarité prôné dans la lutte contre l’insécurité liée au terrorisme dans la sous-région. Car, il faut le dire, le président Alassane Ouattara Dramane (ADO), connaissant la capacité de nuisance de Guillaume Soro, le préfère le plus éloigné possible de son pays. Mais le sachant à sa porte, il aura sans doute du mouron à se faire.
3. Mali : Kidal libéré ?
Hier, le lundi 13 novembre 2023, marquait une étape historique pour le Mali alors que l’armée malienne, sous la direction du colonel Assimi Goita, président de la transition malienne, chef suprême des armées et commandant des forces spéciales du Mali (BAFS), a totalement repris le contrôle de la ville stratégique de Kidal. Cette victoire significative consolide la détermination inébranlable du colonel Goita et hisse l’armée malienne au rang de super puissance régionale.
Grâce à une stratégie militaire audacieuse et à une détermination sans faille, les dernières poches de résistance des groupes armés terroristes ont été éradiquées les unes après les autres. Les valeureux soldats maliens, dignes fils de la nation, ont continué à débusquer les rebelles séparatistes et leurs complices terroristes aux abords de la ville de Kidal.
Le colonel Assimi Goita, figure charismatique et leader éclairé, a été le fer de lance de cette opération historique. Il a su diriger les troupes avec professionnalisme, dotant l’armée malienne d’arsenaux de guerre, de compétences en combat et de vecteurs aériens de pointe. Sa détermination inébranlable a joué un rôle crucial dans la montée en puissance de l’armée malienne.
Face à cette victoire, les Forces armées maliennes (FAMa) appellent la population à rester calme et à ne pas céder à la panique. Ils exhortent également les habitants de Kidal à s’abstenir d’actes de pillage et de vandalisme. Toutes les dispositions nécessaires ont été prises par les FAMa pour éviter tout pillage et saccage de la ville par les groupes armés terroristes.
L’armée malienne agit avec professionnalisme et respecte les droits de l’homme, témoignant d’une force unie et déterminée. Aujourd’hui, tout le peuple malien peut être fier de son armée, grâce à la vision et à la détermination de ses dirigeants actuels, en particulier le Colonel Assimi Goita.
Unis, le peuple malien et son armée regardent vers l’avenir avec confiance. Cette victoire à Kidal renforce la stabilité et la sécurité dans la région, et rappelle au monde entier que le Mali est prêt à surmonter les défis avec résilience et détermination.
