Dans cette édition spéciale de « Palestine déclassifiée », nous examinons le soulèvement armé extraordinaire du peuple palestinien contre l’entité sioniste.
Aussi fragile qu’une toile d’araignée, Israël tremble de peur. Au petit matin, les factions de la résistance palestinienne de Gaza ont lancé une attaque sans précédent sur trois fronts. D’abord, des combattants ont franchi la barrière frontalière avec des parapentes.
Simultanément, 5 000 roquettes ont été tirées sur Israël depuis la prison à ciel ouvert de Gaza, neutralisant le Dôme de fer tant vanté. Dans le même temps, les Palestiniens ont détruit la barrière que les combattants avaient franchie à l’aide de bulldozers. Au moins un millier de combattants de la Résistance sont entrés dans les territoires occupés par Israël.
Les bases militaires ont été saisies et les chars Merkava ont été capturés et ramenés à l’intérieur de Gaza, tout près de Roth, où les sionistes montaient sur une colline pour regarder autrefois les bombardements de Gaza. Plus de 100 colons ont été capturés en tant que prisonniers de guerre. La plupart d’entre eux sont membres de l’armée d’occupation. Certains sont des personnalités de haut rang, comme le général Nimrod Aloni, ancien commandant de la 43e division des réservistes.
Une zone de la Palestine occupée plus vaste que la bande de Gaza a été prise et tenue par la Résistance qui s’est approchée à 10 kilomètres seulement de la ville d’al-Khalil en Cisjordanie, appelée Hébron par les colons.
