Lors d’une allocution, samedi soir 29 octobre, le secrétaire général du Hezbollah libanais, Seyyed Hassan Nasrallah, a attribué la récente signature par le régime israélien d’un accord maritime avec Beyrouth à la crainte de Tel-Aviv de s’engager dans un autre conflit avec la Résistance.
« La Résistance libanaise avait menacé de ne pas autoriser l’extraction de gaz du champ contesté de Karish en Méditerranée orientale avant la conclusion d’un accord qui répondrait aux exigences de Beyrouth », a déclaré le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah.
« Les résultats des pourparlers indirects sur la démarcation de la frontière maritime avec Israël sont une victoire historique pour le Liban. La Résistance ne se mêlera pas de cette affaire. Le Liban devrait également tracer sa frontière sud avec Israël », a-t-il assuré.
Comment peut-on analyser la signature de cet accord ? Imadeddin Hamrouni, analyste politique, s’exprime sur le sujet.