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E-Press du 7 décembre 2021

Dans cette photo d'archives prise le 25 septembre 2021, un panneau d'avertissement représentant un ours polaire est représenté au bord d'une route à Longyearbyen, à Svalbard, un archipel du nord de la Norvège, le 25 septembre 2021.

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Au sommaire :

1- La CIA désappointe le Mossad.

Le chef du Mossad est à Washington pour convaincre les États-Unis de frapper l’Iran, mais les récentes propositions du chef de la CIA ne sont pas ce qu’il espérait entendre. William Burns, le chef de la Central Intelligence Agency (CIA) américaine, a admis mardi matin (7 décembre) qu’il n’y avait aucune trace d’armes dans le programme nucléaire iranien.

Burns a déclaré au Wall Street Journal que la CIA « ne voit toujours aucune preuve de l’existence du programme d’armes nucléaires de l’Iran ». Les pays occidentaux, dirigés par les États-Unis et le régime sioniste, ont accusé ces dernières années l’Iran de poursuivre des objectifs militaires dans son programme nucléaire.

 L’Iran a pour sa part fermement démenti ces allégations. L’Iran souligne qu’en tant que signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et membre de l’Agence internationale de l’énergie atomique, sa nation a le droit d’acquérir la technologie nucléaire à des fins pacifiques.

En outre, les inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ont visité les installations nucléaires iraniennes à de nombreuses reprises, mais n’ont jamais trouvé une seule trace prouvant que le programme d’énergie nucléaire pacifique du pays suit des fins militaires.

William Burns a également commenté la levée des sanctions lors des pourparlers à Vienne la semaine dernière. Il a déclaré : « Les Iraniens n’ont pas encore pris les négociations au sérieux. “Nous verrons bientôt à quel point ils sont sérieux.” »

Source : PressTV

2- La Calédonie vers l’indépendance ?

Jean-Luc Mélenchon a “adjuré” le gouvernement de reporter le troisième référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie qui doit se tenir le 12 décembre.

Les indépendantistes demandent un report en raison de la situation sanitaire. Dans un communiqué repris par l’AFP le 6 décembre, Jean-Luc Mélenchon a “adjuré” le gouvernement de reporter le troisième référendum sur l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie qui doit se tenir le 12 décembre.

Les indépendantistes s’opposent à la tenue de la consultation, considérant qu’il est impossible pour les pouvoirs publics de garantir le bon déroulement de la campagne et du scrutin en raison des restrictions sanitaires. Ces derniers souhaitent reporter le vote en septembre 2022. 

Dans un communiqué, Jean-Luc Mélenchon affirme qu’“il n’est pas trop tard pour reporter le référendum”. “En refusant d’entendre la demande de report du référendum, Emmanuel Macron prend le risque de briser cet équilibre. Je l’adjure donc : il doit mettre à l’ordre du jour du conseil des ministres du mercredi 8 décembre ce report”, ajoute le candidat à la présidentielle.

Jean-Luc Mélenchon est d’avis que dans le cas contraire, Emmanuel Mélenchon prendrait “la responsabilité de recréer les conditions du conflit actuellement apaisé”.

“La mise en danger de la paix ne peut servir de stratégie électorale pour une candidature du parti de l’ordre que voudrait incarner Emmanuel Macron”, affirme le chef de file de la France insoumise. Ce dernier scrutin du processus d’indépendance de l’accord de Nouméa (1998) est boudé par les indépendantistes. Ils en demandent le report en raison de l’épidémie de Covid-19 qui selon eux “empêche de mener une campagne équitable”.

Le Conseil d’État a examiné le 6 décembre, une requête déposée par 146 citoyens visant à reporter, en raison de l’épidémie de Covid-19, le troisième référendum sur l’indépendance prévu le 12 décembre. Le Conseil d’État doit rendre sa décision au plus tard le 7 décembre. Même si la circulation du virus reste active, l’épidémie est toutefois depuis plusieurs semaines en repli, ce qui a incité le gouvernement à maintenir le scrutin. Face à cette décision, les indépendantistes ont prévenu qu’ils ne reconnaîtraient pas le résultat et le contesteraient devant les Nations unies. 

Source : RT France 

3- Un major général directeur de campagne de Zemmour

Zemmour nomme un général comme directeur de campagne.

Quelques jours après l’officialisation de sa candidature à la présidentielle, Éric Zemmour fait grossir les rangs de son équipe en nommant comme directeur de sa campagne Bertrand de La Chesnais, ancien major général de l’armée de terre.

Après s’être officiellement porté candidat à la présidentielle, Éric Zemmour forme son équipe. Le polémiste et désormais chef du parti Reconquête a ainsi nommé comme directeur de sa campagne le général Bertrand de La Chesnais, ancien major général de l’armée de terre (de 2014 à 2017). La nomination s’est faite dans la matinée du 6 décembre suite à un échange entre eux deux, comme le précise Europe 1. Ceci confirme les informations relatées par L’Opinion dimanche, le jour où se déroulait le premier meeting politique d’Éric Zemmour à Villepinte.

Général de corps d’armée à la retraite

Proche du général Pierre de Villiers, Bertrand de La Chesnais conseillait déjà Éric Zemmour sur les questions relatives à la défense.

Aux municipales de 2020, il s’est présenté candidat sans étiquette à Carpentras (Vaucluse). Soutenu par le Rassemblement national (RN), le Parti Chrétien Démocrate (PCD), ainsi que par le Centre national des Indépendants et Paysans (CNIP), Bertrand de La Chesnais a été qualifié pour le second tour, mais battu contre le maire sortant Serge Andrieu.

Outre Bertrand de La Chesnais, l’équipe d’Éric Zemmour est composé de nombre de hauts fonctionnaires et responsables. La directrice de campagne est Sarah Knafo, énarque de 28 ans.

Ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, de Bruno Le Maire ou encore de Rachida Dati, Olivier Ubéda avise actuellement Éric Zemmour sur sa communication en tant que directeur des événements. Antoine Diers, membre des Républicains, est porte-parole du parti Reconquête.

Jonathan Nadler, banquier d’affaires, tient le poste de responsable de projet. Ces derniers mois, il a mis en place 23 pôles thématiques au sein de l’équipe du polémiste, comme l’éducation, l’industrie ou la souveraineté juridique.

Source : AFP

4- Le F-35 a peur du Sukhoi ?

 Un pilote de chasse italien a décidé de prendre sa retraite après une rencontre déchirante avec un Su-30 russe. Notre pilote du chasseur italien F-35 a été contraint de demander une aide psychologique après une rencontre inattendue avec le chasseur russe Su-30SM dans le ciel de la mer Baltique.

L’incident, apparemment, a eu lieu à l’été de cette année, lorsque le cinquième escadron de chasse italien a été envoyé en Estonie pour assurer la sécurité de l’espace aérien européen au-dessus de la mer Baltique.

Comme le montrent les informations fournies par les médias italiens, les manœuvres du chasseur russe ont tellement effrayé le pauvre pilote italien malgré le fait que ce dernier pilotait un chasseur F-35 de cinquième génération au point que le pilote a demandé une assistance psychologique.

Selon le pilote italien, le chasseur russe a effectué des manœuvres extrêmement dangereuses faisant appel au chasseur F-35 au corps à corps, et ce alors que le pilote italien du F-35 à la pointe de la technologie savait évidemment qu’il était incapable de rivaliser avec le pilote russe.

“J’étais à ma limite. La peur s’est tellement emparée de moi qu’elle a même atteint le bout de mes orteils. J’ai compris que le pilote russe testait mes capacités et celles de mon avion, nécessitant un combat rapproché.

À cette pensée, des larmes se mirent involontairement à couler. Je me suis souvenu de ma fiancée et de mon frère, qui m’accompagnaient en voyage d’affaires il y a un mois”, a expliqué le pilote italien. On sait qu’après un certain temps, le pilote italien a décidé de quitter le service dans l’armée de l’air italienne, en raison de son “incompatibilité psychologique”.

Source. avia-pro.net

5- La fronde de la Norvège !

L’un des membres fondateurs de l’OTAN tente de toute urgence d’apaiser les tensions et de réduire le risque de confrontation avec la Russie à un moment où la rhétorique accusatrice entourant l’Ukraine continue de mettre à mal les relations entre la Russie et l’Europe. La ministre norvégienne des Affaires étrangères, Anniken Huitfeld, a annoncé que le pays scandinave souhaitait que les avions et les navires américains, britanniques et autres de l’OTAN se tiennent à distance de la frontière russe.

“Il est important pour la Norvège d’être militairement présente dans notre environnement immédiat. Mais très près de la frontière russe, nous pensons que nous le faisons mieux nous-mêmes, avec des avions norvégiens et des frégates norvégiennes. C’est fondamental pour nous”, a déclaré Anniken Huitfeldt au journal Verdens Gang. Ses propos ont ensuite été traduits et présentés dans les médias russes.

Récemment, le gouvernement norvégien dirigé par le Premier ministre Jonas Gahr Store a déclaré vouloir améliorer les relations avec son grand et puissant voisin, la Russie. Les deux pays partagent une frontière septentrionale de près de 200 km.

La publication norvégienne a demandé à Mme Huitfeldt si elle souhaitait que les moyens militaires étrangers de l’OTAN ne s’approchent pas de la frontière russe, car Moscou se sentirait provoqué.

Elle a semblé répondre par l’affirmative : “Il est dans l’intérêt de la Norvège de s’occuper de ces zones par elle-même, avec la défense norvégienne”, a répété la haute diplomate. Le gouvernement semble se méfier de la possibilité d’un malentendu ou d’un incident conflictuel par inadvertance, comme cela a été le cas ces dernières années dans la région de la mer Noire, avec notamment l’incident du détroit de Kerch, ou encore l’augmentation des interceptions d’avions entre les États-Unis et la Russie.

Récemment, des rencontres ont eu lieu entre les marines russe et norvégienne dans la mer de Norvège. Bien qu’il n’y ait pas eu d’incident, ces rencontres sont étroitement surveillées et sont une source de tensions.

Entre-temps, un ancien haut commandant norvégien a été encore plus direct en déclarant que les patrouilles de l’OTAN devaient rester à l’écart sans l’autorisation expresse d’Oslo.

 “Nous essayons de dire à nos partenaires que la Norvège est l’OTAN dans le nord. Les Russes sont habitués à la présence d’avions et de navires norvégiens dans la mer de Barents”, a déclaré l’ex-commandant du quartier général opérationnel des forces armées, Rune Jakobsen, à la même publication, Verdens Gang.

 Il a ajouté : “De plus, le navire Marjata des services de renseignement y navigue. C’est ainsi que nous voulons que les choses se passent à l’avenir également : Ce ne sont pas les avions de surveillance américains P8, mais nos propres avions qui volent dans l’espace aérien à l’est d’Andoya [comté de Nordland]”.

Source : aubedigitale

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SOURCE: FRENCH PRESS TV