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E-Press du 22 juin 2020

Le chef de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), Armin Laschet, le très probable successeur pressenti d’Angela Merkel au poste de Chancelier. ©AFP

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Au sommaire :

1-Kim Jong-un salue le nouveau président iranien

Kim Jong Un, leader de la République populaire démocratique de Corée, a envoyé un message de félicitations à Seyyed Ebrahim Raïssi, président élu de la République islamique d’Iran, le 20 juin. Son message est le suivant :

« Au nom du gouvernement et du peuple de la République populaire démocratique de Corée, je vous adresse mes chaleureuses félicitations pour votre élection à la présidence de la République islamique d’Iran.

Votre élection est une manifestation de la confiance profonde du peuple iranien et de ses attentes élevées à votre égard.

Je saisis cette occasion pour exprimer ma conviction que les relations amicales et la coopération entre nos deux pays s’élargiront et se développeront davantage. Je vous souhaite du succès dans la défense de la souveraineté nationale et la construction d’un Iran puissant. »

Les deux États, mus par une volonté de préserver leur indépendance d’action et leur souveraineté et une égale opposition aux ingérences des puissances occidentales, entretiennent des relations de longue date, surtout axées sur le militaire.

En 2020, les Nord-Coréens ont été intrigués par le tir de missiles de croisière antinavire en immersion iraniens, Jask-2, effectué à partir du sous-marin iranien Ghadir.

Qu’un tout petit sous-marin, invisible aux radars et capable de reposer des heures dans les tréfonds des mers, parvienne à tirer en immersion un puissant missile de croisière, cela ne pouvait qu’intéresser la Corée du Nord, à qui les agissements militaires des États-Unis et de leurs alliés paraissent de plus en plus alarmants.

« L’Iran a réussi à améliorer la portée du missile de croisière Jask-2, tiré désormais depuis le sous-marin Ghadir, un bâtiment construit sous sanction et avec les moyens locaux », avait constaté le quotidien Rodong Sinmun, l’organe officiel du Parti du travail de Corée.

Ce rapprochement vers l’Est choisi par les Iraniens approfondira davantage les coopérations balistiques de part et d’autre.

2-Indopacifique : la démonstration de force russe

La marine russe a lancé ses plus importantes manœuvres navales dans la partie centrale de l’océan Pacifique depuis la fin de la guerre froide, avec une vingtaine de navires de surface [dont le croiseur lance-missiles Varyag], des sous-marins, des avions de patrouille maritime Tu-142 et des chasseurs MiG-31BM.

Dans le même temps, un groupe aéronaval américain, formé autour du porte-avions USS Carl Vinson, s’est déployé à 200 nautiques à l’est d’Hawaï pour un « exercice de certification ».

Justement, l’un des scénarios des manœuvres navales russes reposait sur la détection et la destruction d’un groupe aéronaval « ennemi ». C’est en effet ce qu’a indiqué, ce 21 juin, le ministère russe de la Défense.

On aurait pu penser que l’état-major russe aurait profité de l’occasion pour évaluer l’apport du couple MiG-31K/missile hypersonique Kinjal dans une telle opération. Il n’en a rien été. Certes, des MiG-31BM ont bien été sollicités… mais les frappes contre le groupe aéronaval « adverse » ont été effectuées par le croiseur Varyag ainsi que par la frégate « Maréchal Shaposhnikov » [récemment modernisées] et des corvettes de classe Steregouchtchi.

Source : Opex360

3-Allemagne : pas de conflit avec la Chine

L’Allemagne pourrait se rapprocher davantage de la Chine dans les années à venir, comme le suggère le successeur pressenti d’Angela Merkel au poste de Chancelier.

Ce dernier, Armin Laschet, met en garde contre les dangers d’une nouvelle guerre froide contre Pékin, et préconise une approche plus nuancée dans les relations avec la puissance asiatique qu’il perçoit autant comme un partenaire qu’un rival systémique.

« La question est la suivante : si nous “limitons” la Chine, cela conduira-t-il à un nouveau conflit ? Avons-nous besoin d’un nouveau rival ? », a ainsi questionné ce politicien allemand, dans une récente interview accordée au média britannique Financial Times.

« Et là, la réponse européenne a été prudente, car oui, la Chine est un concurrent et un rival systémique, elle a un modèle social différent, mais elle est aussi une partenaire, notamment dans la lutte contre le changement climatique », a-t-il ajouté en réponse.

Rappelons que l’Allemagne, première puissance industrielle d’Europe, est également un important acteur commercial pour le continent africain ; le pays a acheté pour 12,1 milliards $ de produits depuis l’Afrique, de janvier à juillet 2020, selon l’Office fédéral des statistiques allemand, cité par la Deutsche Welle.

De son côté, la Chine est le principal partenaire commercial de l’Afrique, avec des échanges commerciaux qui représentent plus de 200 milliards $ en 2019, et 82,4 milliards $ au premier semestre 2020, selon les données du Ministère chinois du Commerce.

Cette position de celui qui pourrait prochainement diriger l’Allemagne, n’est donc pas éloignée des intérêts du continent, d’autant qu’elle tranche avec celle des USA, rival commercial de la Chine et un autre influencer de la diplomatie africaine.

En effet, Joe Biden dans sa tournée européenne de la semaine dernière a de nouveau appelé à une position plus ferme vis-à-vis de la Chine, notamment sur les droits de l’homme et les origines du Coronavirus.

Notons du reste que ces jeux de positions entre ces acteurs dans l’actualité internationale ne font pas encore l’objet de commentaires ou de prises de position en Afrique, pas plus au niveau des instances continentales, que régionales ou nationales. Et ceci, malgré le poids de ces nations dans les activités économiques et la diplomatie africaine.

Source : Agence Ecofin

4-Enfin, le peuple juif est maître de la France !

Les gouvernements et les nations reconnaissent le fait officiellement.

Alphonse XIll, roi d’Espagne, de la maison de Bourbon, est venu en France au mois de novembre 1913, il est allé chez le président Poincaré, pour une partie de chasse à Rambouillet. Mais il est allé chez notre Édouard de Rothschild pour traiter des affaires de l’Espagne avec la France…

Nous régnons sur la France en vertu du même droit qu’ont invoqué les Européens pour anéantir des Peaux-Rouges et pour asservir les Cafres ou les Congolais : le droit de la race supérieure sur une race inférieure. C’est une loi de nature.

La supériorité de la race juive et son droit à la domination sont établis par le fait même de cette domination. Les vaincus s’inclinent devant l’évidence.

L’indigène français ne manque pas d’une certaine intelligence. Il commence à comprendre ce qu’il peut gagner en acceptant l’inévitable. Il sollicite nos enseignements, nos conseils, nos impulsions dans tous les ordres d’activité politique, économique, artistique, philosophique, littéraire.

C’est à l’école primaire, au lycée, à la Sorbonne, dans les grands établissements d’enseignement supérieur, que se forment toutes les classes de la nation, que la plèbe acquiert les quelques notions sur lesquelles elle vivra toute sa vie, et que la bourgeoisie amasse les idées qu’elle tient ensuite pour définitives.

Sagement, nous nous étions emparés de l’instruction publique à tous les degrés, avant de démasquer notre dessein politique.

L’Université, ses conseils, ses programmes sont entre nos mains ; les plus modestes manuels de l’école primaire comme les chaires les plus orgueilleuses des Facultés subissent notre censure.

À l’École normale supérieure comme à l’École polytechnique, nos hommes contrôlent tout, décident de tout.

Une grande partie des éditeurs qui publient les livres scolaires sont juifs, et les professeurs indigènes qui travaillent à leurs gages doivent se conformer à notre pensée.

La Sorbonne entière nous est dévouée, le Collège de France tremble devant nous : dans la scandaleuse affaire Curie, les pontifes et les maîtres de la culture « française » ont fait bloc contre la mère de famille française pour servir notre sœur Salomé Slodowka.

Nous avons expurgé l’histoire française de ses fastes. Par notre volonté, les indigènes français ignorent ou renient les siècles de leur passé qui précédèrent notre événement.

Ils croient que la France était plongée dans la barbarie, dans le fanatisme, dans la servitude, dans la misère avant l’époque où les juifs affranchis se dévouèrent à l’affranchir.

L’histoire de France n’est plus que l’histoire de la conquête de la France par Israël, commençant par l’intervention des loges maçonniques à la fin du XVIIIe siècle, s’achevant en apothéose au XXe siècle.

En même temps que nous effaçons des programmes ou que nous supprimons de l’enseignement effectif ces inutiles légendes – ces absurdes réveils du passé, disait Joseph Reinach dès 1895 – nous proscrivons ce que les Français appelaient naïvement l’Histoire sainte, c’est-à-dire l’histoire de nos tribulations, le tableau de nos superstitions, le récit de nos fureurs et la mémoire de nos origines.

 « Ils ne pourront pas dire que les juifs arrivent de Palestine par les ghettos de Russie et d’Allemagne : car deux cent mille instituteurs, surveillés de près, leur enseignent qu’un juif est un Normand, un Provençal ou un Lorrain de religion particulière, aussi bon et vrai Français que les autochtones ».

Source : Réseau international

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SOURCE: FRENCH PRESS TV