Alors même que le monde entier se focalise sur le canal de Suez, suivant les aléas de la politique US en mer de Chine ou encore en mer Noire, les USA de Biden viennent de perdre leur première guerre militaire. Selon des informations fiables, ce qui s'est passé il y a quelques jours sur la frontière Venezuela / Colombie n'est pas un simple combat contre un camp de guérilléros comme veut le faire croire la presse mainstream.Cette information est fausse. Ce qui s'est passé sur la frontière colombo-vénézuélienne dans l'État d'Apure a été une offensive particulièrement bien planifiée comme cet assaut naval en septembre 2020 des contracteurs US et qui visait à arrêter le président Madura et à l'amener aux États-Unis. Cette nouvelle offensive a attribué un nombre d'hommes important, d'avions et le poids et le calibre du bombardement qui ont eu lieu son ampleur. A quoi s'ajoute le nombre de camps illégaux, de leur origine, de leur état pratiquement neuf, de la sophistication de ceux-ci et de la quantité d'armes saisies ainsi que de la logistique dont disposent les insurgés, du matériel de dernière génération utilisée pour leurs communications cryptées par satellite.
"Aucun groupe de guérilléros ne va installer 6 camps sur un même territoire, le guérilléro ne travaille pas et ne fonctionne pas ainsi, il travaille isolé, cherche par tous les moyens à se camoufler, à passer inaperçu. Les FARC sont actuellement un groupe morcelé qui cherche à se recomposer et n’a pas d’armes nouvelles et sophistiquées, de chapiteaux spéciaux permettant de construire des camps pouvant être isolés de la chaleur pour ne pas être repérés, la nuit, grâce à l’utilisation des rayons infrarouges. Ils n’ont pas non plus de matériel de communication par satellite crypté de dernière génération, souligne un observateur.
En effet face à cette première attaque militaire du Pentagone, un gros contingent de l’armée vénézuélienne de 300 à 400 hommes a été déployé par terre, par fleuve et dans les airs, composé pour la plupart de Forces spéciales et tous ont été déployés sur le terrain par un hélicoptère Mi-17V5 à partir de la base aérienne de Santo Domingo Estado Táchira : des troupes Caraïbes de l’armée (la 92e brigade Caraïbes de l’armée, en particulier les bataillons 921 et 923, tous déployés par le 9202 escadron de cavalerie motorisée grâce à l’utilisation de blindés BTR-80A, des commandos ruraux de la Garde (la 9209 Compagnie de Francs-tireurs des détachements de commandos ruraux de la GNB 354 y 355), des commandos fluviaux Piraña de l’infanterie de marine bolivarienne (le 65e bataillon de soutien fluvial), plus de 6 avions de chasse bombardiers d’attaque air/terre K-8W de l’armée de l’air Bolivarienne (groupe aérien de chasse N°12).
«Il est bien connu - de notoriété publique - que le gouvernement colombien cherche à éliminer de façon sélective et systématique tous les anciens membres des FARC. Il serait illogique et stupide de penser que le gouvernement colombien, ses forces armées et ses conseillers yankees disent que c'est une poursuite contre des groupes armés insurgés. Au fait, c'est une vulgaire déclaration de guerre avec ses paramilitaires, ses entreprises sous-traitantes yankees et européennes avec leurs misérables mercenaires, note encore l'expert qui a gagné: "Contrairement à ce qu'on dit dans les manuels yankees et sionistes, le Venezuela ne se rend pas, c'est pourquoi la réponse a été et sera ferme… c'est la première défaite militaire US sous Biden "…