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Zoom Afrique du 7 septembre 2020

Burundi: Ndayishimiye ne cède pas aux pressions occidentales

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Les analyses de la rédaction :

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Les analyses de la rédaction :

Burundi: le nouveau président ne marche pas sur les pas occidentaux

Au Burundi, et après la mort suspecte du président Nkurunziza, les choses ne vont pas dans le sens souhaité de la puissance néo-colonialiste. Et c’est dans ce cadre que Human Rights Watch, qui à plusieurs reprises, tenté de faire pression sur le nouveau président Evariste Ndayishimiye, a fini par alerter l’Union européenne.

Lewis Mudge, le directeur pour l'Afrique centrale chez Human Rights Watch craint que les responsables des exactions commises durant la crise post-électorale de 2015 ne soient pas sanctionnés par le nouveau gouvernement qui compte en son sein certains parmi les accusés. « Pour nous, à Human Rights Watch, ça montre un mauvais signe parce qu’effectivement, actuellement au Burundi, il n’y a pas de changement sur le terrain », a-t-il déclaré.

Pour cause : il semblerait que le nouveau président burundais, Evariste Ndayishimiye ait un penchant vers l’axe de l’Est et non pas vers l’Occident, les plans d’ingérence sont donc tombés à l’eau.

En effet, c’est le 27 août dernier que lors d’une rencontre entre le PM burundais et l'ambassadeur de Chine dans ce pays d'Afrique de l'Est, que les deux pays ont plaidé pour la promotion des relations globales sino-burundaises.

L’ambassadeur chinois a souligné qu'avec la mise en place de nouvelles institutions du Burundi, la Chine était prête à développer ses relations avec le Burundi sur le plan gouvernemental, mais aussi entre les deux Parlements.

Le diplomate chinois a également évoqué le projet de modernisation de l’aéroport de Bujumbura.

Le nouveau gouvernement burundais n’est donc pas celui que l’Occident souhaitait après la mort de Nkurunziza. Le nouveau président marche dans les pas de son prédécesseur et n’est visiblement pas prêt à changer de position.

Mali: le peuple ne se fait pas influencer par les médias mainstream

Quelle est la mission de Louis Magloire Komayou, quand il plaide sur France 24 la cause du départ de France.

A première vue, c’est un Malien patriote qui aimerait voir le Mali affranchi de la présence militaire française, Barkhane.

Oui, la France est le pays de la démocratie et même un Malien dont le pays est occupé a le droit de paraître à l’antenne de France 24 et à critiquer Barkhane !

Mais à suivre de plus près l’intervention, il n’est rien… l’empire médiatique est en pleine œuvre de manipulation pour défigurer la réalité telle qu’elle se déroule au Mali.

Dans la première partie de l’entretien, Louis Magloire Komayou se réfère à la mort de deux parachutistes français tués dans une attaque que l’armée d’occupation attribue à l’explosion d’une bombe improvisée.

Mais deux parachutistes ne patrouilleraient pour rien à Tessalit, une région ultra stratégique située sur la frontière avec l’Algérie autour de laquelle l’étau otanien ne cesse de se resserrer.

Mai ceci n’est pas le thème de l’entretien, M. Louis Magloire Komayou cherche dans la foulée à justifier à travers d’une pseudo position à la présence de Barkhane cette même présence, comment ? Écoutons la réponse à la première question :

« Il y a toujours un risque que ces forces soient considérées comme des occupants lorsqu'une opération militaire est prolongée. D'un autre côté, il y a un risque que ces forces n'atteignent pas les objectifs fixés. Il y a maintenant un sentiment de désespoir. Malgré le coup d'État du 18 août et la volonté du G5 Sahel de continuer à coopérer avec la France, le massacre de soldats témoigne de la complexité de la situation. »

Cette première réponse est truffée de mensonges, comment ? M. Louis Magloire Komayou ment quand il dit que Barkhane est considérée comme une force d'occupation puisque sa présence perdure. Dès 2013 cette force qui a prétexté une soi-disante émergence des forces djihadistes à occuper des points entiers du nord au centre du Mali et tout ceci sous prétexte à en avoir à écarter les djihadistes, or son objectif n’a été rien de moins que de provoquer la séparation du nord et du reste du Mali, ceci est la mission originelle d’une force d’occupation.

Barkhane est une force d’occupation aussi parce que tout au long de ces années, elle n’a cessé de vampiriser l’armée malienne, de lui mettre des batons dans les roues dans guerre contre le terrorisme, que ce soit, en lui refusant des équipements et armements nécessaires, la formation adéquate ou encore en facilitant l’action des terroristes par des coups perfides que les Maliens connaissent que quiconque.

Barkhane est également une force d’occupation puisqu’elle n'a cessé de s’ingérer dans les affaires internes de l’état en opérant dans l’ombre d’IBK qui, une fois renversée via un coup d’État parodique a été évacué aux émirats sous prétexte d’une maladie jusqu’ici non dévoilée.

M. Louis Magloire Komayou se trompe aussi quand il dit que Barkhane n’a pas atteint ses objectifs, car son objectif à elle a été de nuire de façon durable à la sécurité, la stabilité de l’état malien, à provoquer les clivages interethniques, interconfessionnels à travers lesquels piller plus facilement les richesses du grand Mali. Barkhane voulait aussi que le Mali soit la base arrière d’une très vaste opération de déstabilisation à l’encontre des autres pays du Sahel, et il en est ainsi désormais au Burkina, au Niger et au Tchad et depuis le coup d’État non loin des frontières de l’Algérie.

Mais rendra grâce à M. Louis Magloire Komayou au moins sur un point : Barkhane n’a pas réussi malgré tout ses efforts effrénés à faire imploser le Mali et c’est là que M. Louis Magloire Komayou dit le plus grand mensonge de son discours quand il affirme que le Mali est l’état le plus faible du Sahel.

Eh bien non M. Louis Magloire Komayou que France 24 semble avoir bien briefé visiblement juste avant que l’émission commence, ce Mali qui dit non depuis 2 ans à la France a fait capoter l'accord divisionniste d’Alger, ainsi que le plan destiné à faire des touaregs maliens des mercenaires de la France, ce Mali là a fait échouer le complot contre les peuls, les dogons et les autres ethnies, un complot qui est visé à provoquer via ces ethnies une interminable guerre à travers tout le Sahel.

Que M. Louis Magloire Komayou ne se pose ni en porte-voix de la France ni en celui des putschistes, le grand Mali sait que ce coup est signé par une puissance d’occupation aux abois et il le gérera en conséquence.

 

L’ONU forcée d’admettre que le vaccin financé par la Fondation Gates est à l’origine d’une épidémie de polio en Afrique

Ce devrait être l’un des plus grands scandales de santé publique de la décennie, mais au lieu de cela, on lui accorde peu d’attention – principalement en raison de la grande visibilité des personnes et des organisations impliquées.

Les Nations unies ont été obligées d’admettre qu’une initiative internationale majeure en matière de vaccins provoque en fait une épidémie mortelle de la maladie qu’elle était censée éradiquer.

Alors que des organisations internationales comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se vantent régulièrement d’avoir « éradiqué la polio » grâce aux vaccins, il semble que ce soit le contraire qui se produise, les vaccins ayant causé la mort de dizaines de jeunes vivant en Afrique.

Les responsables de la santé ont maintenant admis que leur plan pour mettre fin à la polio « sauvage » se retourne contre eux, car de nombreux enfants sont paralysés par une souche mortelle de l’agent pathogène dérivé d’un vaccin vivant, ce qui provoque une vague virulente de polio.

Cette dernière pandémie d’origine pharmaceutique a débuté dans les pays africains du Tchad et du Soudan, le coupable ayant été identifié comme étant le virus de la polio de type 2 dérivé d’un vaccin.

Les autorités craignent désormais que cette nouvelle souche dangereuse ne « saute les continents » et ne provoque d’autres épidémies mortelles dans le monde entier.

Aussi choquant que cela puisse paraître, cette débâcle des Big Pharma n’est pas nouvelle. Après avoir dépensé quelque 16 milliards de dollars sur 30 ans pour éradiquer la polio, les organismes de santé internationaux ont « accidentellement » ré-introduit la maladie au Pakistan, en Afghanistan et en Iran, la région d’Asie centrale ayant été frappée par une souche virulente de polio engendrée par un vaccin pharmaceutique. De plus, en 2019, le gouvernement éthiopien a ordonné la destruction de 57 000 flacons de vaccin oral contre la polio de type 2 (mOPV2) à la suite d’une épidémie similaire de polio provoquée par le vaccin.

Il est important de noter que le vaccin oral contre la polio est encouragé par l’Initiative mondiale pour l’éradication de la polio (GPEI), un consortium qui est soutenu et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Tout cela devrait être préoccupant, surtout avec les gouvernements occidentaux et les géants pharmaceutiques transnationaux qui se précipitent tous pour déployer leur nouveau vaccin expérimental contre le coronavirus financé par la Fondation Gates pour la population mondiale.

Actuellement, le premier vaccin expérimental de la COVID-19 est testé sur la population africaine par le biais de l’Alliance GAVI pour les vaccins, une autre organisation financée par la Fondation Gates. Une vaste série d’essais sur l’homme est en cours en Afrique du Sud, sous la direction de l’université du Witwatersrand à Johannesburg, une autre institution financée par la Fondation Gates.

Cette dernière révélation africaine devrait inciter les journalistes et les défenseurs de la santé à poser des questions plus pointues sur l’efficacité et l’innocuité du vaccin « miracle » contre la COVID, dont on parle beaucoup.

Source: Réseauinternational

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV