De nombreux Jordaniens se sont rassemblés mardi devant l’ambassade des États-Unis à Amman, pour protester contre le soutien américain au régime sioniste, scandant des slogans anti-américains et exigeant qu'un terme soit mis à la complicité du régime avec le massacre de milliers de civils palestiniens dans la bande de Gaza.
Ils ont également prié pour la victoire des Palestiniens et souhaité que l’ennemi sioniste soit vaincu. Les participants à la manifestation ont par ailleurs appelé le gouvernement jordanien à expulser l’ambassadeur du régime sioniste de leur pays et à abroger l’accord de paix conclu avec cette entité.
En Tunisie, des militants et des organisations de défense de la cause palestinienne se sont rassemblés à Tunis, capitale, à la veille de l’année 2025 pour exprimer leur solidarité avec le peuple opprimé de Gaza. Ils ont rappelé que Gaza vit actuellement le crime de génocide perpétré par le régime sioniste et que la célébration du Nouvel An n’a pas lieu d’être dans les circonstances du moment.
Plus tôt dans la journée, le mouvement de résistance palestinien Hamas avait appelé dans un communiqué à transformer les célébrations du Nouvel An dans le monde entier en une campagne contre le génocide à Gaza.
« Nous demandons à tous les peuples épris de la liberté qui célèbrent les fêtes de Noël de faire de ces festivités un mouvement populaire et mondial contre la guerre génocidaire, le nettoyage ethnique et les déplacements forcés appliqués par les occupants israéliens contre la population palestinienne de la bande de Gaza », a appelé le Hamas dans son communiqué.
Le Hamas a indiqué que le monde devrait profiter de ces événements pour organiser de nouvelles marches de protestation à travers le monde contre la politique de génocide menée par le régime sioniste à l’encontre des Palestiniens.
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La guerre à Gaza est entrée dans son 453 ème jour alors que l’armée d’occupation du régime sioniste continue de lancer des raids contre diverses zones de la bande de Gaza et ses attaques ont fait environ 154 000 morts ou blessés depuis le début de la guerre.
Les femmes, les enfants, le personnel médical et les journalistes font partie des plus grandes victimes de cette guerre.
