Deux bases militaires du régime sioniste ont été visées par une nouvelle série de frappes en provenance du Liban.
Dans un communiqué publié le lundi 28 octobre, le Mouvement de résistance libanais Hezbollah a annoncé que ses combattants avaient visé par roquette la base de Meron, en Haute Galilée, utilisée pour la surveillance aérienne.
Plus tôt, la base navale de Stella Maris, située au nord-ouest de Haïfa, a également été visée par la Résistance libanaise.
Ces opérations s'inscrivent dans le cadre du soutien au peuple palestinien et à sa résistance honorable mais également pour défendre le Liban et son peuple, annonce le communiqué du Hezbollah.
Par ailleurs, des sources libanaises ont fait part lundi de nouvelles attaques de missiles depuis le Liban sur la Galilée occidentale, dans le nord de la Palestine occupée.
À la suite de ces attaques, des sirènes d'alarme ont retenti dans la ville de Nahariya et dans plusieurs colonies sionistes de la Galilée occidentale, rapportent des sources au sein du front intérieur de l’armée israélienne.
D’autre part, la chaîne de télévision al-Mayadeen a fait part des tirs intenses de la Résistance sur des zones en Galilée occidentale surtout à Nahariya, dont elle avait précédemment demandé l'évacuation.
Selon les médias israéliens, 40 explosions ont été entendues dans la région de Galilée occidentale, l'armée du régime sioniste ayant prétendu avoir détecté et intercepté 30 missiles.
Toujours lundi, le Hezbollah libanais a ciblé des rassemblements de forces israéliennes sur plusieurs positions dans les territoires palestiniens occupés.
Le Hezbollah a annoncé avoir mené quatre frappes réussies contre les troupes israéliennes à la porte de Fatima, un ancien poste-frontière près du village de Kfar Kila, au sud du Liban, et la ville de Metula, au nord des territoires occupés.
La Résistance libanaise a promis de poursuivre ses frappes tant que le régime n’aurait pas mis fin à sa guerre à Gaza et à ses attaques contre le Liban.
