Dimanche 29 septembre, avant de quitter New York, où il a assisté à la 79e Assemblée générale de l’ONU, le ministre iranien des Affaires étrangères a souligné que l’assassinat par Israël du secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah, accélérerait la disparition du régime sioniste et le laisserait sans avenir en Asie de l’Ouest.
S’adressant à des journalistes iraniens, Abbas Araqchi a présenté ses condoléances pour le martyre du « grand commandant de la Résistance », affirmant que son sang renforcerait la puissance du Hezbollah.
Ghada Houballah, géopoliticienne libanaise et professeur à l’Université islamique de Beyrouth, partage son analyse avec nous.