Le mouvement de résistance libanais, Hezbollah a fermement rejeté les allégations de l’armée israélienne selon lesquelles il stockerait des armes dans les bâtiments civils à Beyrouth qui ont été ainsi frappés lourdement par les avions de chasse israélien.
C’est le bureau de presse du Hezbollah qui l’a annoncé dans un communiqué émis samedi après que l’armée israélienne a mené des frappes ciblant, prétend-elle, « des armes appartenant au Hezbollah… qui étaient stockées dans les bâtiments civils » dans le sud de la capitale libanaise, Beyrouth.
Le bureau a qualifié de sans fondement les allégations du régime sioniste sur l'existence d'armes ou de dépôts d'armes dans les bâtiments civils visés par les bombardements israéliens contre la banlieue sud de Beyrouth.
Les frappes israéliennes ont visé plusieurs immeubles dans les quartiers d'al-Hadath et Laylaki et Dahiyeh à Beyrouth.
Peu de temps après, des rapports ont fait état d'une « troisième vague de frappes » sur al-Hadath, les récits ultérieurs évaluant le nombre total d'attaques à 15.
Vendredi, des avions de guerre israéliens ont frappé au moins six bâtiments résidentiels dans le quartier Haret Hreik de Dahiyeh, tuant au moins huit personnes et en blessant environ 80 autres.
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Ces attaques s’inscrivent dans le cadre de l’escalade de la violence contre le Liban, qui vise le pays depuis le 7 octobre, lorsque Tel-Aviv a lancé une guerre génocidaire contre la bande de Gaza.
La violence du régime sioniste a pris une tournure plus meurtrière depuis lundi, coûtant la vie à plus de 700 personnes à travers le Liban.
