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Le Hezbollah a frappé des installations et des colonies situées dans le nord de la Palestine occupée

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Le Hezbollah a tiré, mardi 10 septembre 2024, une salve de roquettes sur des installations et des colonies situées dans le nord de la Palestine occupée. (Photo à titre d'illustration)

En représailles aux attaques menées par l’armée israélienne dans le sud du Liban, le Hezbollah a tiré, mardi 10 septembre, une salve de missiles sur des installations et des colonies israéliennes situées dans le nord de la Palestine occupée.

Selon la chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen, des missiles ont été tirées, depuis le territoire libanais, sur des positions militaires israéliennes dans le nord de la Palestine occupée.

Des sources médiatiques israéliennes ont fait état de plus de 30 explosions survenues dans la région de Galilée occidentale, située dans le nord des territoires palestiniens occupés.

À la suite de l’attaque, les sirènes d’alerte ont été déclenchées dans plusieurs régions du nord de la Palestine occupée, en particulier dans la région de Jabal Meron, qui abrite la base stratégique de Meron.

Les conséquences de cette attaque ont engendré des interruptions d’approvisionnement en électricité dans la ville de Meron.

Le Hezbollah et Israël se livrent quotidiennement à des échanges de tirs transfrontaliers depuis que le régime de Tel-Aviv a déclenché une guerre génocidaire contre la bande de Gaza, le 7 octobre 2023.

Dans une tentative désespérée de remédier à ses échecs militaires sur les deux fronts, l’armée sioniste s’en prend à des populations civiles dans le sud du Liban à travers ses bombardements aériens et ses frappes d’artillerie.

En réaction, le Hezbollah libanais a renforcé ses attaques contre les colonies israéliennes ainsi que les installations de l’armée sioniste établies dans le nord des territoires occupés.

Des dizaines de milliers de sionistes ont fui les colonies situées aux abords des frontières libanaises, craignant les attaques de la Résistance libanaise. D’après les rapports des médias sionistes, la majorité des colons israéliens qui sont encore présents dans cette zone éprouvent des difficultés psychologiques.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV