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Le Hezbollah cible la colonie de Kiryat Shmona en Palestine occupée par roquettes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
L’image montre la colonie de Kiryat Shmona ciblée par le Hezbollah dans le nord de la Palestine occupée, le 8 septembre 2024. (Photo via al Mayadeen)

La Résistance islamique au Liban a ciblé, aux premières heures du dimanche 8 septembre, la colonie de Kiryat Shmona, située dans le nord de la Palestine occupée, avec deux salves distinctes de missiles Falaq.

Le mouvement de la Résistance libanaise Hezbollah a annoncé que cette opération avait été menée en solidarité avec le peuple palestinien de la bande de Gaza et sa résistance, mais également en réponse aux récentes attaques du régime d’occupation d’Israël contre des villages et des zones civiles du sud du Liban, en particulier, la frappe de drone de samedi soir du régime contre des équipes médicales dans la région de Froun, qui a entraîné la mort en martyr de plusieurs membres de la Défense civile et blessé plusieurs autres.

Pendant ce temps, l’armée israélienne a appelé les colons de Kiryat Shmona à ne pas quitter les zones fortifiées. Les alertes ont également été diffusées dans les colonies voisines de Misgav Am, al-Manara et Kfar Giladi, où les sirènes ont retenti à de nombreuses reprises.

Les médias de la Résistance libanaise ont diffusé des images attestant que des équipements de surveillance ont été pris pour cible sur des sites israéliens, notamment Birket Richa et al-Jardah, situés à la frontière avec la Palestine occupée.

Le Hezbollah a également diffusé des images qui montrent le ciblage de la caserne Biranit, appartenant à l’armée israélienne, située à la frontière libano-palestinienne.

Au même moment, les attaques israéliennes contre les villages et les villes du Sud-Liban se sont poursuivies, notamment contre la ville de Maroun al-Ras et la ville d’Aitaroun.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV