Dimanche 2 juin dans la matinée, le Hezbollah libanais a mené de lourdes attaques contre les positions du régime d’occupation sioniste dans le nord de la Palestine occupée et sur les hauteurs du Golan. Cet après-midi, ce mouvement a également attaqué des bases militaires israéliennes.
La Résistance libanaise a annoncé dans un communiqué avoir attaqué la base militaire Hadb Yaroun, lieu de rassemblement des forces d’occupation.
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Le Conseil régional du Golan occupé a également annoncé que plusieurs missiles du Hezbollah libanais ont frappé Qatzrin provoquant plusieurs incendies dans cette zone.
La radio de l’armée du régime sioniste a également annoncé que deux drones offensifs avaient attaqué Nahariya et Acre, mais que la défense aérienne israélienne n’avait pas réussi à les intercepter. Ces missiles ont atteint leurs cibles.
Les médias israéliens ont également rapporté des incendies à Nahariya et Acre à la suite de cet accident.
La radio militaire israélienne a annoncé que 100 000 sionistes s’étaient réfugiés dans des abris par crainte des attaques du Hezbollah.
L’armée du régime sioniste n’a pas réussi à intercepter les drones d’attaque du Hezbollah.
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En reconnaissant que le Hezbollah libanais n’a testé que 5 % de son arsenal d’armes au cours de plusieurs mois de la bataille actuelle, les médias israéliens reflètent le sentiment d’humiliation, de désespoir et de défaite des sionistes.
L’ancien commandant des forces terrestres de l’armée israélienne, le général de brigade Yiftah Ron-Tal, a quant à lui précisé aujourd’hui que la question n’est pas de savoir ce qui se passera s’il y a une guerre dans le nord, mais qu’il y a déjà une guerre dans le nord : « une guerre dans laquelle nous nous sentons humiliés et outragés ». « Le Hezbollah a créé une ceinture de sécurité, notre société est démantelée et la moitié de notre peuple ne sait pas s’il rentrera chez lui ».
