Des sources d’information font part des attaques aux roquettes du Hezbollah libanais contre les avant-postes et les lieux de rassemblement de l’armée israélienne au nord de la Palestine occupée, évoquant également une attaque contre une base israélienne dans le Golan syrien occupé.
L’agence de presse IRNA se réfère à des sources arabophones pour dire que le Hezbollah a annoncé avoir frappé lundi à 10h25, heure locale, l’avant-poste militaire de Jal al-Alam au nord de la Palestine occupée avec une arme appropriée en appui à la lutte courageuse des Palestiniens dans la bande de Gaza. Cette attaque a touché sa cible avec précision, ajoute le communiqué.
Toujours lundi, un lieu de rassemblement des militaires israéliens à Tal al-Sayhat au nord de la Palestine occupée a été frappé par arme appropriée, affirme aussi le Hezbollah libanais.
La Résistance libanaise a annoncé avoir frappé par quatre drones kamikazes le site de missile Kila de l’armée israélienne au nord de la Palestine occupée, ajoutant que les drones ont touché leurs cibles avec précision.
Entre temps, la chaîne 14 de la télévision israélienne a annoncé que deux drones kamikazes avaient été interceptés au nord du Golan syrien occupé où ont retenti les sonnettes d’alarme. Dans ce droit fil la chaîne Al-Mayadeen a annoncé qu’une position militaire israélienne dans le Golan syrien occupé avait été prise pour cible d’une attaque.
Des sources d'information israéliennes ont rapporté lundi qu'un hélicoptère militaire s'était écrasé sur la base aérienne de Nevatim, dans le Néguev, au sud de la Palestine occupée, suite à quoi trois officiers israéliens ont été blessés. La raison de cet incident n’a pas été évoquée.
À la suite des crimes israéliens dans la bande de Gaza et du massacre d’un grand nombre de Palestiniens par l’armée du régime de Tel-Aviv au cours des cinq derniers mois, le mouvement de résistance libanais Hezbollah a mené des attaques contre les positions militaires israéliennes au nord de la Palestine occupée, ce qui a semé la panique auprès des colons israéliens habitant cette région. Des dizaines de milliers d’Israéliens ont quitté les zones près de la frontière libanaise de peur des attaques du Hezbollah.
