L'Iran met en garde la communauté internationale et le Conseil de sécurité des Nations Unies contre des tentatives flagrantes d’Israël d’étendre la guerre à toute la région.
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré que les actes pervers d'Israël ne compenseraient pas la défaite des occupants sionistes et leur bellicisme de trois mois à Gaza.
Les crimes de guerre permanents d'Israël contre les Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie, les violations de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Liban et de la Syrie, ainsi que le soutien ouvert au terrorisme organisé constituent un « danger immédiat pour la paix et la sécurité régionale et mondiale », a déclaré le lundi 8 janvier le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani.
Dans un communiqué, Kanaani a condamné l'assassinat d'un éminent commandant du mouvement de la Résistance islamique du Liban (Hezbollah), Wissam Hassan Tawil, lors d'une frappe aérienne israélienne sur le sud du Liban, exprimant : « Sans aucun doute, le régime criminel sioniste et ses partisans sont définitivement responsables des conséquences de telles mesures terroristes et aventureuses.
Kanaani a qualifié les opérations terroristes d'Israël de désespérées et a expliqué qu'elles révélaient la faiblesse évidente du régime et le coup terrible qu'il a reçu sur le champ de bataille, en particulier dans la bande de Gaza.
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Le diplomate iranien a également salué le soutien du Liban au peuple palestinien opprimé face au régime criminel israélien.
Il a réitéré une fois de plus le soutien de l'Iran à l'unité, à la cohérence, à la stabilité et à la sécurité du Liban ainsi qu'à son droit légitime de contrer les actes d'agression d'Israël.
Dans un communiqué publié, lundi après-midi 8 janvier, la Résistance a pleuré la mort en martyr de son commandant Wissam Hassan Tawil, publiant un certain nombre de photos le montrant aux côtés d'éminents dirigeants de la Résistance dans le cadre de son travail.
Israël a échoué dans son invasion terrestre de la bande de Gaza assiégée depuis début octobre. Le régime de Tel-Aviv n’a rien obtenu et a tué plus de 23 000 personnes.
