Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a réagi à l’assassinat du général de brigade Seyyed Razi Moussavi et a mis en garde le régime sioniste soulignant qu’il doit s’attendre à un compte à rebours difficile en réponse de cet acte terroriste.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a présenté ses condoléances pour le martyre de ce conseiller militaire du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) en Syrie, à sa famille et aux peuples d’Iran et de Syrie. Il a déclaré que le général Moussavi s’était battu courageusement pendant de nombreuses années aux côtés du général Qassem Soleimani pour assurer la sécurité de l’Iran et la région contre le terrorisme.
L’assassinat du général Moussavi par le régime sioniste a suscité des réactions fermes des autorités iraniennes.
Le président Ebrahim Raïssi a qualifié cet acte terroriste de « nouveau signe de la frustration et de l’impuissance du régime sioniste dans la région ».
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, l’a fermement condamné. Il a souligné que la République islamique d’Iran avait le droit de prendre les mesures nécessaires pour y riposter, assurant que l’Iran se réservait le droit d’exercer toute action en justice au moment et lieu appropriés.
Les relations publiques du CGRI ont confirmé que l’assassinat du général Moussavi, conseiller militaire du CGRI en Syrie, avait eu lieu le 25 décembre dans le quartier Sayyida Zeinab à Damas.
Arnaud Develay, juriste international et Imadeddin Hamrouni, analyste politique, s’expriment sur le sujet.