Outre l’attaque réussie à la roquette sur la ville d’Ashkelon, les Brigades al-Qassam, branche militaire du Hamas, ont annoncé avoir tué deux soldats israéliens. Plus loin à Eilat les sirènes d’alarme ont retenti.
Dans un communiqué publié mardi 14 novembre, les Brigades al-Qassam ont également annoncé des affrontements entre les combattants de la Résistance palestinienne et les forces israéliennes dans différentes parties de la bande de Gaza.
Faisant référence à la poursuite des affrontements à Beit Hanoun (au nord de la bande de Gaza), le communiqué indique que trois autres militaires ont également été blessés dans la même zone.
La Résistance palestinienne a pris pour cible la ville occupée d’Ashkelon (au nord de la bande de Gaza), avec une attaque à la roquette cet après-midi. Un certain nombre de roquettes ont directement touché les cibles.
De son côté, l’armée israélienne a confirmé ce matin la mort de deux ses soldats, ajoutant que quatre autres ont été blessés lors d’affrontements qui se sont produits suite à l’attaque terrestre de la nuit dernière contre la bande de Gaza.
Dans un communiqué, l’armée israélienne a précisé que le nombre de ses victimes a atteint 47 militaires depuis le lancement de l’attaque terrestre contre la bande de Gaza.
Plus loin à Eilat (sud des territoires occupés) les sirènes d’alarme ont encore une fois retenti dans la zone dans l’après-midi de ce mardi 14 novembre, la ville portuaire ayant été prise pour cible par les combattants de la Résistance yéménite au cours de ces derniers jours.
Peu après, les sources israéliennes ont rapporté qu’une forte explosion avait été entendue dans le port. Pour l’instant, aucun bilan n’a été fait sur le nombre de victimes ni sur les pertes matérielles.
Pour rappel, le général de brigade Yahya Saree, avait précédemment affirmé que les forces d’Ansarallah avaient mené des opérations de drones et de missiles contre le régime israélien en soutien à Gaza, et que ces attaques se poursuivraient jusqu’à ce que l’agression contre Gaza ne cesse.
Et lui de noter que les médias du régime israélien censurent les informations relatives à ces attaques et aux dégâts qui en résultent.
